Archives de l’auteur : Catherine

À propos Catherine

Un site pour aller à l'essentiel, être au coeur de soi, où je partage avec vous différentes méthodes pour se sentir bien, en accord avec soi-même.

Croyances quand vous nous tenez

undefinedJuste ce petit conte…

Un professeur universitaire rendit visite un jour au Maître zen Nan-in afin d’en apprendre davantage sur le zen.
Cependant, au lieu d’écouter le Maître, l’érudit ne cessait d’énoncer ses propres idées.
Après l’avoir écouté durant un certain temps, Nan-in lui servit du thé.
Il remplit complètement la tasse de son visiteur, puis continua à verser le liquide. Le thé déborda de la tasse, remplit la soucoupe et se répandit sur le pantalon de l’homme ainsi que sur le plancher.
« Ne voyez-vous pas que la tasse est pleine? », explosa le professeur. »vous ne pouvez plus en rajouter! »
« C’est trèsjuste », répondit calmement Nan-in, « Et comme pour cette tasse, vous êtes plein de vos propres idées et opinions. Comment puis-je vous enseigner le zen, si vous ne videz pas d’abord votre tasse? ».

Vider la tasse, cela signifie de faire de la place pour d’autres questions. Cela nécessite que nous soyons ouverts, que nous nous conditionnons à accepter que, pour l’instant nous ne savons pas.
C’est de cette attitude que jaillira un plus grand savoir.

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Pour partir du bon pied

A tous ceux qui se sentent en décalage, désunis, mal avec leur corps, qui appréhendent mal l’espace et le temps; à ceux qui sont souvent en retard ou à contre temps, qui ont tendance à trébucher qui se disent « je ne suis plus moi! ». Mais aussi à ceux qui sont bien dans leur corps  et qui ont besoin d’être encore plus performant, au top de leur puissance physique:
je propose l’utilisation de l’huile essentielle de Myrte rouge, elle permet de s’ancrer physiquement et éveille la perception de l’espace et du temps. Elle concentre et centre l’énergie physique.
Cette huile essentielle émet des vibrations qui renforcent la liaison entre le corps et l’énergie tellurique.
Commencez par l’inspirer, elle envahie votre corps de chaleur et de bien-être et vous place au centre de l’espace et du temps.A partir de cet instant vous êtes « Ici et Maintenant » bien présent, bien centré.
Vous pouvez aussi pratiquer un massage des jambes tous les matins, du pied jusqu’en haut de la cuisse, avec 20 à 30 gouttes de Myrte rouge pour avoir « les pieds sur terre »!
Excellent activateur de la circulation.
(Etude réalisée par Brigitte Ducastel des Laboratoires des Puits Tournants)

Je vous souhaite donc de terminer l’année, bien centrés afin de déterminer tout ce que vous voulez pour l’année à venir. 
N’oubliez pas que c’est le présent qui compte et qui déjà détermine le futur!ico-yinyang-1-.gif
 
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Relaxation pour un sommeil zen

Beaucoup d’entre vous ont du mal à dormir et par conséquent se lèvent fatigués le matin, alors je vous propose ici une relaxation pour diminuer le stress et mieux contrôler votre corps.

Allongez-vous sur le dos et détendez progressivement et lentement à votre rythme les muscles de votre corps en partant de la tête pour aller jusqu’aux orteils.

Dans un premier temps, fermez la main gauche, serrez le poing de plus en plus fort , repliez l’avant bras en inspirant puis ouvrez rapidement la paume en expirant.
Faites la même chose avec le bras et la main droite.

Serrez les orteils du pied gauche au maximum, contractez la jambe gauche jusqu’à la fesse sur l’inspiration puis relâchez.
Faites la même chose avec les orteils et la jambe droite.

Contractez sur l’inspiration tout le visage et relâchez sur l’expiration.

Puis concentrez-vous sur votre respiration abdominale en inspirant par le nez en vous concentrant sur l’air que vous inspirez et qui rentre dans votre ventre et expirez lentement en imaginant quelque chose de très agréable.
Eliminez de votre tête toutes autres pensées, concentrez-vous sur votre respiration et laissez-vous allez au maximum.

Je vous souhaite une très belle nuit.danielle__noblet__corse_ao_t_2007_photos_cathy_094.jpg
 
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Témoignage d’une belle rencontre

10030107.jpg   Avant de vous livrer ce témoignage, je tiens à remercier F.pour son autorisation de mettre en ligne quelques lignes de ses nombreux témoignages au fil du temps, et ainsi de pouvoir vous faire profiter de son évolution.
Si j’ai décidé de vous livrer ici les écrits de F., ne croyez pas que je fasse briller mon égo, mais simplement montrer à ceux qui parfois doutent de leur évolution, que lorsque l’on veut, on peut; et qu’il est tout à fait normal de douter, de se démotiver…Mais qu’au bout du compte tout peut changer.

Mars 2005:
 » J’ai l bonheur de t’annoncer que je vais VRAIMENT bien: c’est une renaissance et à chaque fois que je me prends à gémir ou à râler pour quelque chose, je me dis immédiatement: « souviens toi, il y a un an dans quel état tu étais »!!
Je me suis bel et bien reconstruite psychologiquement grâce à notre travail enrichissant et cet instinct de survie est devenu envie de vivre sincère: cette attitude saine a contribué à l’amélioration de mon état physique.
Je gère mieux mon stress au travail, je suis un vrai rayon de soleil avec mes 3 ou 4 Kg de plus et mes joues presque rebondies qui font mon bonheur et celui de mes frères et soeurs…
L’envie de vivre, comme c’est beau!… »

Décembre 2005 et AVRIL 2005:
« Chère Catherine, il faut que tu sache que tu fus dans la vie, parmi mes plus beaux cadeaux puisque grâce à tes compétences tu as su faire naître la foi en moi , ce qui me permet désormais de me regarder avec stupefaction puisque les peurs ne sont plu là, et de déployer une belle énergie agrémentant ma vie et celle des autres!…
Comme j’ai la chance de pouvoir partager cette renaissance avec une de mes soeurs qui a fait la même thérapie, nous parlons souvent de cette expérience qui était plus que nécessaire pour enfin vivre et non pas juste survivre…
Je ne prends rien pour acquis, et je sais que tout doit s’entretenir; je ne manque donc jamais de me « recadrer » … »

Septembre 2006
« …Il y a eu des hauts et des bas comme chez tout le monde depuis un an, mais grâce aux mécanisme de fonctionnement que tu m’as enseignés et ne pas me poser en victime, je ne réagis plus en petite fille (qui attendait la main tendue par les autres, sans leur avoir fait part de mes maux…) mais en femme qui se prend en main et solicite l’aide des autres. Je me visualise toujours sur un écran et dès que je vois une scène indigne de la personne cosmique que je voudrais être, je me dis: » oh là, il faut rectifier le tir!
La visualisation créatrice m’amuse beaucoup.
Grâce à notre travail, j’ai appris à m’aimer pour mon courage et devant la glace je me souris, me pince les joue et prononce à haute voix: « sacrée toi, tu vois tu pouvais mener ta barque en bon capitaine au lieu d’être le passager à bord, tremblant de peur! »
Le week-end dernier, assise sur les pelouses au doux soleil en compagnie d’une amie qui m’a trouvée métamorphosée et je lui ai exppliqué ce que j’avais fait comme thérapie avec toi.  elle était fascinée par mon récit, et m’a demandé tes coordonnées.
Je ne peux encore une fois que remercier mes anges gardiens là-haut de t’avoir mise un jour sur ma route, afin de permettre mon évolution. »

Juin 2007
… » Dès que tu m’as informée il y a quelques semaines que tu avais accouché de ton bébé de 21 cm de haut sur 15cm de large, je me suis empressée d’aller voir la tête qu’il pouvait avoir MAIS ils ne l’avaient pas encore reçu.Je l’ai donc commandé immédiatement et l’ai reçu par la poste à mon domicile il y a 15 jours. J’étais très ému de tenir dans mes mains quelque chose que tu avais pondu et la première soirée, je me suis contentée longuement de m’imprégner du dessin et des couleurs de la couverture. J’en suis arrivée au chapître « comment réapprendre à manger ».
Je me sens extrêmement privilégiée d’avoir fait une thérapie avec le co-auteur de ce livre.
Ce que nous apprenons sur ton enfance et ta vie personnelle est très significatif de ce que tu es devenue en effet. J’adore les citations au début de chaque chapître. Lorsque j’aurai tout lu, je ne manquerai pas de te faire part de mes impressions mais sache que j’en ai déjà acheté 3 exemplaires (pour mes deux soeurs et une amie) car ce sera un cadeau d’anniversaire qui leur fera très plaisir. »

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Message à toutes les personnes en cours de thérapie

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J’ai envie de m’adresser à toutes les personnes qui suivent une thérapie, qui font un travail de développement personnel pour les encourager à poursuivre leur travail dans cette direction.

En effet, beaucoup d’entre vous se laissent avoir par les leurres de leur inconscient à un certain stade de leur évolution.

Il arrive que nous pensions que nous n’avançons plus, que cela devient encore plus douloureux, que nous n’y arriverons jamais. Que nous n’en sommes pas capables. Que ce que nous découvrons nous fait encore plus souffrir…
Alors on décide de tout arrêter par peur…
Et bien c’est justement là qu’il ne faut pas baisser les bras et se laisser leurrer, c’est là que nous sommes le plus fragile et que nous avons besoin d’aide, de sécurité. Cette sécurité nous ne pouvons pas encore nous l’apporter complètement parce que souvent nous n’utilisons pas les outils que le thérapeute ou le coach nous proposent, et qu’il y a plein de choses encore que nous ne connaissons pas.

Tout cela est normal à ce stade de votre évolution, alors accrochez-vous, ne croyez pas que vous allez y arriver tout seul ou toute seule, là pour le moment, car si tel était le cas, seriez-vous là dans cet état de souffrance?
En fait en agissant ainsi, vous ne faites que vous confirmer votre scénario de départ que vous avez mis en place à un moment donné pour vous protéger d’une croyance et éviter de souffrir, mais ce scénario est là pour vous confirmer ce que vous avez cru à l’instant où il s’est passé, et comme à ce moment là vous ne saviez pas ce que vous découvrez aujourd’hui, c’est comme si vous n’aviez pas eu d’autre choix que d’agir et de décider comme vous l’avez fait.
Ce mécanisme de protection en réalité déjà c’est VOUS qui l’avez mis en place et il vous a apporté des bénéfices dont un essentiel: C’est d’être là aujourd’hui: il a répondu à votre instinct de survie!
VOUS ENTENDEZ?
C’est Vous qui avez choisi d’agir ainsi. C’est à dire que vous avez été capable d’utiliser des ressources en vous pour décider de vivre.
C’est cet instinct de vie qui vous a permis de continuer. Vous voyez en fait vous êtes tout à fait capable de réussir, d’y arriver, vous avez de merveilleuses ressources en vous, vous les utilisez déjà…mais inconsciemment!
Aujourd’hui la thérapie est là pour vous aider à le faire en conscience et en confiance.
Alors ce n’est vraiment pas le moment de laisser tomber!
Devenez acteur de votre vie, ne vous laisser pas emprisonner dans des chaînes que VOUS avez mises autour de vous parce que vous ne saviez pas faire autrement; vous pouvez faire autrement.

La thérapie, le travail sur soi n’est pas un long fleuve tranquille, mais si vous décidez d’utiliser les outils que l’on vous propose pour vous aider à vous sécuriser à faire autrement, si vous acceptez de regarder les choses différemment, alors OUI, vous y arriverez.La thérapie est là pour pous rendre autonome.
Faites en au moins une fois l’expérience, et vous verrez, ça vaut vraiment le coup!

Aujourd’hui, vous n’êtes plus tous seuls, aujourd’hui est différent d’hier, parce que aujourd’hui vous découvrez, vous comprenez et que vous avez consciemment le choix d’agir.

Je vous propose d’aller relire ce que j’ai écrit au sujet d’agir consciemment et inconsciemment ( je pense que vou retrouverez l’article dans la rubrique: « sophrologie » ou « divers ») ou sur Naturavox.

Voilà, je me devais de vous dire tout ça, maintenant le reste vous appartient.
Que ce message vous apporte la lumière dont vous avez besoin pour sortir de l’ombre de vos pensées.

Je vous souhaite à tous et à toutes une belle évolution.

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Beauté et religion

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Le saviez-vous?

Je viens de lire un article paru dans Beyong Beauty Mag et écrit par Sabine Durand sur un biochimiste, Shaindy Kelman, qui depuis vingt-quatre ans développe une ligne de soins de maquillage et de nettoyants casher pour Pessah (les Pâques juives).
Ces produits sont sans blé, sans orge, sans avoine, ni épeautre ni seigle.
Pour le shabbat, il a développé une ligne de produits très longue tenue, naturels, à base d’huiles botaniques et essentielles.
Ainsi, les femmes peuvent les appliquer le vendredi après-midi,avant que démarre le shabbat, et elles resteront ainsi maquillées à l’identique jusqu’au samedi soir.

Une idée sympathique qui permet d’associer la beauté à la religion, sans oublier la beauté intérieure, qui elle n’a besoin d’aucun fard pour exister!

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Il n’y a pas de hasard…

Pas tout à fait encore partie en vacances, ce début de semaine est riche en émotions.

Tout a presque commencé avec ce texte d’Hélène Palumbo sur lequel je suis « tombée » en surfant sur le net pour tout autre chose, et comme je suis sensible aux signes, j’ai envie de le partager avec vous.

Juste vous dire qu’après la lecture de ce texte, j’ai eu des nouvelles de deux personnes que je n’avais pas vues depuis…Beaucoup d’années!

IL N’Y A PAS DE HASARD… IL N’Y A QUE DES RENDEZ-VOUS…

Il n’y a pas de hasard, iln’y a que des rendez-vous…

Si je suis venue jusqu’à vous, c’est parce que j’avais besoin de vous.

Des petits sauts de chat aux belles arabesques,

Il n’y avait qu’un pas, pour commencer la fresque.

Cela fait trente ans qu’elle a vu le jour

Et je viens ce soir vous chanter sans détour,

Quelques mots d’amour…

Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous…

Nous avons un rendez-vous ce soir

J’espère que ce sera le nôtre, le vôtre et que vous reviendrez,

Un soir par hasard à un autre rendez-vous…

Ce texte m’a bien sûr interpelée, et je ne me doutais pas de tout ce que j’allais découvrir cette semaine!

La vie est fantastique, elle vous apporte tout ce dont vous avez besoin lorsque vous êtes prêt à le recevoir!!

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Donner du sens à sa vie

Laissez-moi vous confier ce conte:

Les deux jarres et le porteur d’eau

Un porteur d’eau indien avait deux jarres, suspendues aux deux extrêmités d’une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L’une des jarres avait un éclat et, alors que l’autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu’à la maison du maître, l’autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Ceal dura deux ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d’eau ne livrait qu’une jarre et demi d’eau à chacun de ses voyages.

Bien sûr, la jarre parfaite était fière d’elle, puisqu’elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu’elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était capable. Au bout de deux ans de ce qu’elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s’adressa au porteur d’eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source:

– je me sens coupable, et je te prie de m’excuser.

– Pourquoi? demanda le porteur d’eau. De quoi as-tu honte?

-je n’ai réussi qu’à porter la moitié de ma cargaison d’eau à notre maître, pendant deux ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l’eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l’eau. Tu n’obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts, lui dit la jarre abîmée.

Le porteur d’eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit:

– pendant que nous retournerons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu’il y a au bord du chemin.

Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur.

Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu’elle avait encore perdu la moitié de son eau.Le porteur d’eau dit à la jarre:

– t’es-tu rendu compte qu’il n’y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque pas du côté de la jarre parfaite? C’est parce que j’ai toujours su que tu perdais de l’eau, et j’en ai tiré parti. J’ai planté des semences de fleurs de ton côté du chemin et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin.

Pendant deux ans, j’ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n’aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses ».

Morale de cette histoire?

Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées.

Certains d’entre nous sont diminués par la vieillesse, d’autres ne brillent que par leur intelligence, d’autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains chauves, d’autres sont diminués physiquement… Mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

Il vaut mieux prendre les autres tels qu’ils sont, et voir ce qu’il ya de bien et de bons en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous! Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas être déformés. Souvenez-vous d’apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie! Sans eux, la vie serait bien triste.

Apprenez à aimer vos imperfections!

Je vous laisse méditer sur ce conte, à bientôt!

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La maladie: amie ou ennemie? ( suite)

Parlons un peu du coeur:

le coeur est ce qui nous anime, et dans ce système coeur-vaisseaux, nous sommes corps et âme tout « entier » dans nos entreprises, nos réactions, dans cet investissement artériel et dans ce (manque de « retour » veineux avoir le coeur à l’ouvrage, y mettre tout son coeur, se faire un coup de sang, être au coeur de l’action…)

Le souffle, c’est la vie, la joie de vivre et de respirer, c’est aussi le rythme, savoir se reposer, souffler, c’est aussi l’espace qui quelquefois nous manque tu me pompes l’air), c’est cet échange par lequel nous respirons cet air de notre ennemi dont il faut se protéger.

En mangeant et en buvant, nous assimilons le côté matériel comme émotionnel de nos expériences de vie, nous croquons la vie à pleines dents, ça nous reste sur l’estomac, à moins que la vésicule biliaire ne vienne nous dire avec un mélange d’anxiété et de colère que cette expérience-là est un peu « grasse » et lourde à digérer (se faire de la bile)(ça a un goût amer)…

L’intestin grêle discerne et trie, le foie veut faire « sien » toutes ces choses, les posséder dans un désir parfois « boulimique » et dangereux de certaines expériences de vie qu’il aurait fallu éviter avec sagesse.

Le côlon élimine au prix d’une alchimie laborieuse qui lui permet de renoncer à des choses passées, de ne pas retenir mais au contraire d’avancer et de tourner la page, plutôt que de se dire: « ça me fait ch… »

Le pancréas parle de la douceur de vivre, cette notion nous aide à digérer, il gère l’énergie de nos entreprises.La rate est un cimetière, lieu de toutes les nostalgies, des choses inachevées, mais aussi du retour à la terre et du sens de la mesure (courrir comme un dératé), comme de ce qui se passe sous cette terre.

Les reins balancent, pèsent le pour et le contre et décident, mais ils aident aussi à faire face à la vie à travers les « reins solides » de la colonne lombaire, comme à surmonter ses peurs (pisser dans ses frocs) grâce aux surrénales.

Puis cette émotion usée est rejetée par la vessie à travers laquelle l’animal que nous sommes veut définir son teritoire.Les gens qui n’ont plus le sens de leurs limites, on dit « qu’ils ne se sentent plus pisser ».

A suivre..

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Réveiller sa beauté

Maquillage: camouflage ou révélateur?

 

La beauté, c’est une manière d’être toute en légèreté.

 

Si on commence à « devoir être belle ou beau », cela devient une obligation, et cela remet en question toutes les notions de valeurs personnelles. On est plus libre, il y a une notion de résultat impérative: on se sert de la beauté comme d’un instrument de pouvoir. On a plus la notion de plaisir et ça finit par devenir obsessionnel.

 

Etre belle ou beau, je pense que ça commence tout simplement par se sentir bien dans sa peau.

 

C’est se réveiller le matin en se disant qu’on est bien et heureux d’ouvrir les yeux, de respirer, de prendre le temps de se réveiller et de « s’éveiller » à soi même et à ce qui nous entoure.

 

C’est de se regarder dans le miroir et d’avoir envie de s’accueillir, de se faire du bien, de prendre soin de soi.

 

Ca passe aussi par l’envie de se donner de l’éclat, (pas forcément qu’on en manque), mais de le rehausser, une petite touche de lumière, notre façon à nous de nous faire du bien sans avoir forcement envie de cacher quelque chose.

 

Se maquiller c’est aussi se mettre en valeur, souligner de beaux yeux, souligner le contour des lèvres…

 

Pour un homme, ça peut aussi passer par le fait de prendre un peu plus de temps pour lui, d’utiliser lui aussi des produits de soins, se parfumer…

 

Avoir envie d’être belle ou beau dans le regard de l’autre, c’est comme si on avait besoin de cette approbation pour exister. Et si cet autre c’était d’abord soi?

 

Le premier regard, c’est celui du miroir, alors au lieu de se regarder et de commencer par se dire ce qu’on aime pas, ce qui ne nous plait pas, ce serait peut-être de commencer à changer ses habitudes et commencer par s’accueillir comme on accueillerait une ou un ami(e) envers qui on a de l’affection et avec qui on a pas envie de tricher.

 

Donc être présent à soi, avoir l’impression que chaque réveil est une renaissance (avez-vous déjà vu un nouveau-né fraichement sorti du ventre de sa mère?) puis quelques minutes après qu’on lui ait fait une petite toilette? Rare sont ceux (en toute objectivité!) qui ne sont pas fripés, rouges… Et après , ceux sont les plus beaux!… Et bien pour nous, c’est un peu pareil, en fonction de la nuit passée, certaines personnes auront les traits détendus, se sentiront calmes, prêtes pour une nouvelle journée et d’autres seront plus « bouffies », le cheveux hirsute et terne…

 

C’est vrai un tableau peu optimiste et agréable, mais juste à ce moment là et qui découle d’autres moments!…Donc, savoir prendre le temps de se réveiller en douceur, de regarder au delà du miroir et de ce que l’on voit, de regarder ce que l’on apprécie en soi et décider de le mettre en valeur.

 

La beauté thérapie, c’est décider pour soi: de se faire du bien, de se regarder, de s’aimer sans avoir à se transformer et à ressembler à…

 

C’est OSER être soi! C’est oser jouer avec tout ce qui nous permet de nous révéler.

 

Alors le maquillage ne devient plus un camouflage mais un révélateur!

 

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