Category Archives: Bioanalogie

La maladie: amie ou ennemie?

Apprendre à regarder la maladie différemment,c’est comprendre que par elle nous exprimons un réel besoin que nous ne savons pas exprimer et dont nous n’avons pas toujours conscience.

Les stress que nous subissons sont plus ou moins importants. Le stress étant une situation qui nous met en conflit face à une problématique non résolue.( en anglais, stress signifie “souligner”, ” mettre le doigt”, ” mettre l’accent sur”).

Cette problématique dans notre inconscient, met en jeu notre avenir et ne nous permet pas de vivre pleinement l’instant présent.

Par conséquent, ce stress nous met en danger et notre cerveau sait que nous avons certain seuil de tolérance de celui-ci. Notre cerveau doit alors trouver une solution pour faire diminuer ce stress afin d’assumer la survie.

A savoir que dans l’inconscient biologique “comme si” correspond à “c’est”, ce qui est une lecture au premier degrè.La maladie devient alors la solution parfaite du cerveau pour diminuer le stress et assurer monmentanément la survie de l’individu et de l’espèce!

Tout cela dépend bien sûr de notre histoire, de notre vécu…

J’ai envie ici, en me basant sur le travail de Caudia Rainville,Jean-Philippe Brébion, le Docteur Philippe Dransart, Annick de Souzenelle, Michel Odoul…pour ne citer qu’eux, de vous parler de la symbolique du corps.

Tout cela n’est pas à prendre au pied de la lettre, mais bien sûr une indication, un sens une direction à explorer qui peut-être peut vous aider à comprendre le pourquoi de la maladie, ce qu’elle a à vous dire.

Mais acceptez aussi de ne pas tout comprendre car se qui se passe dans notre psychisme n’est pas si simple. Laissez la porte ouverte, ces indications sont comme des clefs, elles peuvent ouvrir les portes de notre compréhension, de ce qui se dit à travers la maladie, mais elles peuvent aussi fermer à double tour cette compréhension, tout dépend de l’usage que l’on en fait.

N’oubliez pas qu’en Bioanalogie, les symptômes de la maladie et le vécu intérieur sont l’expression d’une seule et même réalité inséparable et que chaque élément de notre vie,chaque instant de  notre histoire, chaque partie de nous même est à l’image de la totalité de notre vie.(Je vous invite à relire l’article sur la Bioanalogie que j’ai écrit il y a quelque temps).

 

Je vous propose ici de découvir la poésie du corps.

La tête est ce qui dirige, elle a besoin de lucidité et de froideur (garder la tête froide), mais quelquefois l’émotion remonte et déborde la raison (ça nous prend la tête).

Par la nuque descend l’idée qui rencontre l’énergie du souffle et du coeur pour devenir un désir qui s’exprime, soit par la parole à travers le larynx, soit par l’action qui va se projeter dans le monde extérieur par les épaules, où l’on va trouver soit aide (se sentir épaulé), soit blocage (par la faute d’un “autre”).

Les membre supérieurs vont parler de l’action et de la capacité d’agir (avoir le bras long, les bras m’en tombent), à travers le coude qui nous parle d’ambition (jouer des coudes) de paresse (l’huile de coude), ce coude qui prend, qui donne et qui se plie aussi, quand il faut plier.

Le poignet procure à la fois souplesse et fermeté, dans un juste dosage (à la force du poignet), sur lequel s’appuiera l’habileté des mains ( en un tournemain), mais aussi leur capacité d’échanger, ou de commander (d’une main de fer) enfin la dextérité des doigts, lesquels nous parlent de la connaissance (toucher du doigt).

La colonne est ce qui nous permet de tenir debout face à la vie (avoir les reins solides), qui nous permet de porter la charge ( en avoir plein le dos) et quelquefois de prendre des coups par derrière ( on lui casse du sucre sur le dos).

Les membres inférieurs vont nous permettre d’avancer mais aussi d’aller vers les autres, d’entrer en relation, personnelle ou sociale, c’est l’histoire de l’enfant qui se redresse et découvre le monde.

Nous prenons appui sur les hanches et quelquefois cet appui nous manque, un peu comme dans l’épaule, mais la hanche est plus facilement sensible à la trahison.

Le genou nous rappelle que pour avancer il nous faut plier, quelquefois jusqu’à mettre un genou à terre et surmonter notre orgueil…

La cheville imprime la direction à prendre, elle est aussi un point de faiblesse dans notre relation au monde (tendon d’Achille).Le pied par le talon dit notre assise et par les orteils avance dans ce monde relationnel avec plus ou moins de conviction (Se faire marcher sur les pieds)

( à suivre…)

 
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Nutrition,vous avez dit “Malbouffe”…

Je partage avec vous cette info lettre de mon ami J.PH. Brébion.

 

infolettre : avril 2013

Loi du Principe : 

Faim dans le monde ?  Malbouffe?

Jean-Philippe Brébion

Notre responsabilité …

On a longtemps eu tendance à penser que la « faim dans le monde » concernait essentiellement des pays très éloignés, appartenant au « tiers monde » – ou encore pays en voie de développement – dont les habitants devaient faire face à de nombreuses catastrophes naturelles liées à des conditions climatiques sévères.

Nous savons aujourd’hui – et les voyages, que mes activités professionnelles m’amènent à faire constamment, me le confirment – que de plus en plus de gens, dans tous les pays, souffrent de la faim, et ce, malgré ce qu’on aurait pu espérer des « progrès techniques » de nos sociétés modernes.

D’autre part, on voit se multiplier partout le nombre de restaurants de type fast-food tandis que l’on trouve, , dans notre alimentation quotidienne, des doses de plus en plus massives de substances chimiques, aussi artificielles qu’indigestes, pouvant avoir sur notre santé des répercussions non négligeables, dont la forme la plus visible est l’obésité. Or, dans nos sociétés dites développées, le nombre de personnes obèses augmente à une vitesse vertigineuse !

En résumé, soit l’humanité ne se nourrit pas, soit, elle se nourrit mal et de façon très artificielle.

Tentons maintenant de voir quel sens cela peut avoir – selon la loi du Principe -, de quelle manière chacun de nous est responsable de ce double phénomène et en quoi cela peut être au service de notre évolution.

En effet, une des lois de la Bioanalogie est que tout ce qui nous touche – de quelque façon que ce soit – parle de ce que nous sommes, a un sens et est au service de notre conscience : tout ce qui nous touche nous parle de ce que nous n’avons pas encore réalisé dans notre créativité.

Voilà pourquoi le seul véritable enseignement que nous puissions recevoir est celui apporté par les évènements qui construisent notre vie : c’est notre propre vérité issue de notre expérimentation.

Une autre loi est qu’on ne guérit que dans le réel, c’est-à-dire sans vouloir une autre histoire – passée ou présente – que celle que l’on a.

Alors, que peuvent signifier ces deux constats de malnutrition à travers la Loi du Principe, développée par la Bioanalogie ?

Dans nos civilisations modernes, nous avons l’habitude de considérer que les évènements qui nous touchent sont soit positifs, soit négatifs et nous vivons le plus souvent dans l’idée que la cause de notre bonheur ou de notre malheur est à l’extérieur de nous. Donc, nous souhaitons attirer à nous ce qui nous semble pouvoir être source de « bonheur » et, au contraire, nous tentons de rejeter ce qui pourrait être celle de notre « malheur. »

Socialement parlant, des codes moraux se sont élaborés peu à peu, définissant ce qui est bien et ce qui est mal. Balisant l’existence, ils déterminent pour chacun, un bon ou un mauvais chemin.

Tout ceci entretient l’idée que ce sont les évènements eux-mêmes – les choses extérieures- qui ont de la valeur et que nous avons à réagir à ce qui nous arrive en fonction de cette valeur.

D’autre part, une utilisation de la technologie et des moyens de communication débridée conduit de plus en plus gens à vivre dans un monde virtuel, loin de toute réalité humaine. Nombre d’adolescents, d’adultes et de plus en plus de jeunes enfants deviennent ainsi « addict » aux consoles de jeux , smartphones et autres écrans de TV ou d’ordinateurs.

De plus, phénomène remarquable, la « télé-réalité » qui a envahi nos écrans depuis quelques années, capte un nombre impressionnant de spectateurs qui vivent ainsi, par procuration, la vie de leurs héros. Ces émissions sont, bien sûr, un leurre complet mais elles entretiennent l’idée qu’il faut avoir une image pour être quelqu’un.

Enfin, Les réseaux sociaux en tous genres, contribuant à développer cette croyance, participent également à cette illusion de vie, loin de toute réalité.

Soyons clairs, vouloir vivre dans un monde idéal – hors toute réalité – et attribuer une valeur positive ou négative aux évènements de notre vie est un comportement biologiquement légitime : il nous permet de survivre.

Mais, en aucun cas, il ne nous permet de nous réaliser, c’est-à- dire de vivre pleinement la vie pour laquelle nous sommes faits.

Que pouvons-nous faire pour changer cela ?

Deux points essentiels sont à intégrer :

1° Vivre, c’est rencontrer les évènements qui nous touchent, sans les juger, et en extraire le Principe afin de réaliser notre créativité. En d’autres termes, le rôle de l’Homme est de se nourrir des évènements de sa vie pour évoluer en conscience.

2° Cessons de vouloir une autre réalité que celle que nous vivons en nous appuyant sur la certitude que l’idéal, c’est le réel !

Ainsi, en assumant la responsabilité de notre vie, en cessant de vouloir une autre réalité que celle que nous vivons et en nous nous nourrissant consciemment des évènements que nous rencontrons, nous entrons dans notre créativité.

Dès lors, il ne sera plus nécessaire qu’une partie de l’humanité vive – dans sa biologie – dans un monde virtuel, hors toute réalité, en se nourrissant de produits dénaturés.

J’ai conscience que de tels propos peuvent étonner, désorienter et/ou provoquer des réactions de scepticisme amusé voire agacé.

Peu importe…

Comme je le recommande dans chacun de mes séminaires, lors des conférences que je donne ou au début de chacun de mes livres :

« Surtout, ne me croyez pas ! Expérimentez ! »

Le seul risque encouru est une vie, à la fois plus légère, plus fluide et, de plus en plus souvent, empreinte de plénitude intérieure.

En un mot, une vie plus consciente…

Ce risque, je le prends !

Et vous ?

NB : Le terme biologie est employé ici dans le sens de manifestation matérielle de quelque chose que nous ne savons pas mettre en conscience.

 

Par Jean-Philippe Brébion

Vous pouvez partager cet article en le diffusant parmi vos connaissances.  Merci d’en conserver l’intégralité et la source.

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Le sens de notre naissance

Je partage avec vous l’info lettre de mon ami Jean- Philippe Brébion dans son intégralité et je vous invite à aller visiter son site si vous ne le connaissez pas encore.

 

Cette lettre, sujet sur lequel j’ai beaucoup travaillé déjà, me permet de me recentrer sur le sujet.

 

Je ne remercierai jamais assez Jean-Philippe, le jour où il m’a fait prendre conscience de l’inattendue et de la ressource que j’ai à exploiter par rapport à ma naissance!

 

Aujourd’hui encore, en relisant ce qui suit, c’est évident pour moi qu’il y a quelque chose qui se rejoue et que si je n’y prends garde, je vais rejouer dans la souffrance de sa première interprétation. Ca a été comme un déclic!

 

Belle lecture et bonne méditation sur le sujet.

 

Infolettre : février 2013

Loi du Principe : 

Sens de notre naissance 1

par : Jean-Philippe Brébion

 

Comment suis-je né ?

On sait l’intérêt que je porte aux événements qui entourent la naissance, qu’il s’agisse de notre propre venue au monde ou de celle de nos enfants.

Il y a de nombreuses façons de venir au monde…

Ce mois-ci, je propose donc de nous arrêter sur la question : Comment suis-je né ?

Rappelons que les programmes de notre Empreinte de Naissance sont issus de la manière – ressenti – dont nos parents ont vécu un évènement et non de l’évènement lui- même.

En revanche, comme nous allons le voir, le Talent créatif à notre service est directement issu – selon la Loi du Principe – du Principe, neutre, de l’évènement.

Moi je n’étais pas attendu…

«Oui, mais moi je n’étais pas attendu, pas désiré ! ».

J’ai bien souvent entendu cette phrase, dite avec une grande souffrance et la certitude ancrée en la personne, qu’en raison de cette non attente parentale, elle ne pouvait pas être heureuse.

Si vous vous sentez concernés par cette croyance, je vous propose d’écouter ce qui est inscrit au plus profond de vos cellules.

Dans le Principe « pas attendu » signifie, bien sûr : inattendu et « pas désiré » : pas de désir particulier.

Ce qui se relie au Talent créatif – unique en vous et non encore révélé- : capacité extraordinaire à vivre l’inattendu, à se laisser surprendre dans l’ouverture à tous les possibles, car il n’y a pas de désir particulier à assouvir.

Puissiez-vous désormais sentir en vous cette créativité sans limite, cette liberté dans la quiétude, liée à la capacité de vivre pleinement le présent, puisqu’il n’y a aucune attente.

« Ce n’est pas le moment ! »

Avez-vous le sentiment de ne jamais avoir de place ou de ne pas être à votre place, de ne jamais intervenir au bon moment, d’être « comme un cheveu sur la soupe » !

Il se peut qu’au moment où vos parents ont réalisé que vous alliez arriver, leurs conditions matérielles – ou autres- n’étaient pas celles qu’ils souhaitaient pour accueillir un enfant.

On peut le vivre comme une fatalité et continuer ainsi à se sentir victime de non attention de la part d’autrui, avec le sentiment de ne jamais être à sa place.

Mais il est possible de regarder les choses différemment :

Quel est le Principe de « ne pas avoir de place » ?

Il est, mot à mot ! : ne pas avoir de place.

Ce qui signifie ne pas être identifié à une place -relationnelle, par exemple- , un lieu ou une fonction. En effet, ma place n’est pas d’où je viens ou là où je vais, mais là où je suis : elle n’est pas à l’extérieur de moi, elle est ce que je vis en moi. Si je veux une place, je ne suis pas à ma place : ma place est ce que je suis et non la fonction ou l’action que je peux avoir ou faire.

Grâce à ce regard, je peux accéder au cœur de moi-même, sans dépendance – sans chercher une place à l’extérieur ; je peux vivre ma vie intensément, libre de tout but à atteindre puisque je suis mon propre but : ma propre place.

« Je me sens incomplet, inachevé ; je cherche mon âme sœur… »

Au cours de séminaires, il est également fréquent d’entendre certaines personnes faire part d’une sensation de manque permanent et d’une profonde insatisfaction existentielle. Leurs propos les plus fréquents sont : « Je me sens incomplet, inachevé ; je cherche mon âme sœur et même : « il me manque cet autre unique que moi même ! ».

Ces personnes ont sans doute eu un jumeau -ou une jumelle- en début de vie intra-utérine mais celui-ci a disparu en cours de grossesse, pour une raison ou pour une autre. La perte d’un jumeau est beaucoup plus fréquente que l’on pourrait le penser, car certaines passent totalement inaperçues.

On le sait désormais, aucun évènement, quel qu’il soit, ne programme quelque chose qui ne soit pas porteur de conscience et de créativité.

Que peut-on en dire ?

Selon la Loi du Principe , « un autre unique – comme moi- est parti » se traduit : il faut laisser partir cet autre unique que moi-même.

Cela nous propose de cesser de chercher un modèle, une référence à l’extérieur de nous. Nous n’avons à ressembler à personne d’autre qu’à nous-même !

Chaque fois que nous sommes dans la recherche d’une reconnaissance extérieure, nous sommes dans l’illusion car ce que nous sommes est unique sans référence, ni validation.

Croire qu’il faut être validé, reconnu par un autre, signifie mettre sa propre valeur à l’extérieur : toute comparaison de soi est une négation de soi.

Notre guérison – notre dimension spirituelle- est de faire vivre intensément et sans référence ni comparaison l’être unique que nous sommes.

C’est le Talent créatif inscrit dans la disparition d’un jumeau au cours de la grossesse.

A travers ces exemples, nous comprenons combien il est important de ne pas se situer en victime ; de ne pas prendre pour soi l’histoire ou le vécu de nos parents : ce n’est pas nous personnellement – identifié avec un prénom, etc. – qu’ils n’attendaient pas ou qui n’avait pas de place, mais un enfant indéfini, un « concept d’enfant ».

Pour terminer, rappelons que le Talent créatif n’est accessible que si l’on intègre le fait que tout ce qui nous arrive est à notre service.

Ainsi, nous avons le choix de continuer à nous poser en victime de l’histoire – de ce qu’on fait ou pas fait nos parents – et de vivre les évènements comme une fatalité ou bien, de décider de nous installer dans la certitude absolue que si ce passé appartient à notre histoire, c’est qu’il est à 100% porteur de toute notre créativité et au service de la conscience en nous.

Par Jean-Philippe Brébion

contact@bioanalogie.com                                            www.bioanalogie.com

 
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Le sens de notre naissance

Je partage avec vous l’info lettre de mon ami Jean- Philippe Brébion dans son intégralité et je vous invite à aller visiter son site si vous ne le connaissez pas encore.

 

Cette lettre, sujet sur lequel j’ai beaucoup travaillé déjà, me permet de me recentrer sur le sujet.

 

Je ne remercierai jamais assez Jean-Philippe, le jour où il m’a fait prendre conscience de l’inattendue et de la ressource que j’ai à exploiter par rapport à ma naissance!

 

Aujourd’hui encore, en relisant ce qui suit, c’est évident pour moi qu’il y a quelque chose qui se rejoue et que si je n’y prends garde, je vais rejouer dans la souffrance de sa première interprétation. Ca a été comme un déclic!

 

Belle lecture et bonne méditation sur le sujet.

Infolettre : février 2013

Loi du Principe : 

Sens de notre naissance 1

par : Jean-Philippe Brébion

Comment suis-je né ?

On sait l’intérêt que je porte aux événements qui entourent la naissance, qu’il s’agisse de notre propre venue au monde ou de celle de nos enfants.

Il y a de nombreuses façons de venir au monde…

Ce mois-ci, je propose donc de nous arrêter sur la question : Comment suis-je né ?

Rappelons que les programmes de notre Empreinte de Naissance sont issus de la manière – ressenti – dont nos parents ont vécu un évènement et non de l’évènement lui- même.

En revanche, comme nous allons le voir, le Talent créatif à notre service est directement issu – selon la Loi du Principe – du Principe, neutre, de l’évènement.

Moi je n’étais pas attendu…

«Oui, mais moi je n’étais pas attendu, pas désiré ! ».

J’ai bien souvent entendu cette phrase, dite avec une grande souffrance et la certitude ancrée en la personne, qu’en raison de cette non attente parentale, elle ne pouvait pas être heureuse.

Si vous vous sentez concernés par cette croyance, je vous propose d’écouter ce qui est inscrit au plus profond de vos cellules.

Dans le Principe « pas attendu » signifie, bien sûr : inattendu et « pas désiré » : pas de désir particulier.

Ce qui se relie au Talent créatif – unique en vous et non encore révélé- : capacité extraordinaire à vivre l’inattendu, à se laisser surprendre dans l’ouverture à tous les possibles, car il n’y a pas de désir particulier à assouvir.

Puissiez-vous désormais sentir en vous cette créativité sans limite, cette liberté dans la quiétude, liée à la capacité de vivre pleinement le présent, puisqu’il n’y a aucune attente.

« Ce n’est pas le moment ! »

Avez-vous le sentiment de ne jamais avoir de place ou de ne pas être à votre place, de ne jamais intervenir au bon moment, d’être « comme un cheveu sur la soupe » !

Il se peut qu’au moment où vos parents ont réalisé que vous alliez arriver, leurs conditions matérielles – ou autres- n’étaient pas celles qu’ils souhaitaient pour accueillir un enfant.

On peut le vivre comme une fatalité et continuer ainsi à se sentir victime de non attention de la part d’autrui, avec le sentiment de ne jamais être à sa place.

Mais il est possible de regarder les choses différemment :

Quel est le Principe de « ne pas avoir de place » ?

Il est, mot à mot ! : ne pas avoir de place.

Ce qui signifie ne pas être identifié à une place -relationnelle, par exemple- , un lieu ou une fonction. En effet, ma place n’est pas d’où je viens ou là où je vais, mais là où je suis : elle n’est pas à l’extérieur de moi, elle est ce que je vis en moi. Si je veux une place, je ne suis pas à ma place : ma place est ce que je suis et non la fonction ou l’action que je peux avoir ou faire.

Grâce à ce regard, je peux accéder au cœur de moi-même, sans dépendance – sans chercher une place à l’extérieur ; je peux vivre ma vie intensément, libre de tout but à atteindre puisque je suis mon propre but : ma propre place.

« Je me sens incomplet, inachevé ; je cherche mon âme sœur… »

Au cours de séminaires, il est également fréquent d’entendre certaines personnes faire part d’une sensation de manque permanent et d’une profonde insatisfaction existentielle. Leurs propos les plus fréquents sont : « Je me sens incomplet, inachevé ; je cherche mon âme sœur et même : « il me manque cet autre unique que moi même ! ».

Ces personnes ont sans doute eu un jumeau -ou une jumelle- en début de vie intra-utérine mais celui-ci a disparu en cours de grossesse, pour une raison ou pour une autre. La perte d’un jumeau est beaucoup plus fréquente que l’on pourrait le penser, car certaines passent totalement inaperçues.

On le sait désormais, aucun évènement, quel qu’il soit, ne programme quelque chose qui ne soit pas porteur de conscience et de créativité.

Que peut-on en dire ?

Selon la Loi du Principe , « un autre unique – comme moi- est parti » se traduit : il faut laisser partir cet autre unique que moi-même.

Cela nous propose de cesser de chercher un modèle, une référence à l’extérieur de nous. Nous n’avons à ressembler à personne d’autre qu’à nous-même !

Chaque fois que nous sommes dans la recherche d’une reconnaissance extérieure, nous sommes dans l’illusion car ce que nous sommes est unique sans référence, ni validation.

Croire qu’il faut être validé, reconnu par un autre, signifie mettre sa propre valeur à l’extérieur : toute comparaison de soi est une négation de soi.

Notre guérison – notre dimension spirituelle- est de faire vivre intensément et sans référence ni comparaison l’être unique que nous sommes.

C’est le Talent créatif inscrit dans la disparition d’un jumeau au cours de la grossesse.

A travers ces exemples, nous comprenons combien il est important de ne pas se situer en victime ; de ne pas prendre pour soi l’histoire ou le vécu de nos parents : ce n’est pas nous personnellement – identifié avec un prénom, etc. – qu’ils n’attendaient pas ou qui n’avait pas de place, mais un enfant indéfini, un « concept d’enfant ».

Pour terminer, rappelons que le Talent créatif n’est accessible que si l’on intègre le fait que tout ce qui nous arrive est à notre service.

Ainsi, nous avons le choix de continuer à nous poser en victime de l’histoire – de ce qu’on fait ou pas fait nos parents – et de vivre les évènements comme une fatalité ou bien, de décider de nous installer dans la certitude absolue que si ce passé appartient à notre histoire, c’est qu’il est à 100% porteur de toute notre créativité et au service de la conscience en nous.

Par Jean-Philippe Brébion

contact@bioanalogie.com                                            www.bioanalogie.com

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La loi du principe

Voilà un peu de temps que je n’ai pas écrit.

 

Comme je vous l’avais dit, j’étais en déplacement dans le sud, où j’ai vécu beaucoup d’aventures!

 

J’en reviens, grandie et riche de jolis projets d’ateliers tant en olfactologie, qu’en Sophrologie ou encore en “sophro-olfactologie” (tiens, ça vient de sortir!)

 

En attendant, je vous retrouve avec cette lettre de mon ami Jean-Philippe Brébion sur la loi du Principe à travers la généalogie.

 

Bonne lecture à vous, et merci de laisser des commentaires si vous le souhaitez à la suite de l’article! 

 

La rubrique de la Loi du Principe

Infolettre : Novembre 2012

La loi du Principe à travers la généalogie

« Porteurs de toute une histoire généalogique, nous en sommes l’aboutissement ou plus précisément la résultante : chacun de nous est le « creuset » de la totalité de ces mémoires. Nous restituons la mémoire de notre généalogie. »

En Bioanalogie, nous considérons essentiellement les trois générations qui nous précèdent comme étant une seule et même réalité. En effet, que nous les ayons connus ou non, nous pouvons facilement visualiser nos parents, nos grands-parents et nos arrière-grands-parents et la place qu’ils occupent dans notre arbre. En revanche, parce que toute réalité pour le cerveau humain se lit toujours sur trois plans, nous sommes obligés de faire un effort mental en ce qui concerne les générations précédentes.

Suivant les lois analogiques des trois plans de la Bioanalogie :

– Le Principe de la vie des arrière-grands-parents représente l’Energie Projet : liée au temps, à ce qui est repère pour nous, elle nous permet de nous situer, de nous orienter, de nous identifier.

– Le Principe de la vie des grands-parents représente l’Energie Réalisation : c’est le lien, le « Jet » entre la mémoire des AGP et les Parents ; l’action juste : comment nous œuvrons et nous nous réalisons dans notre existence.

– Le Principe de la vie des parents est en lien avec l’Energie Concrétisation qui est l’énergie de l’accomplissement de notre existence et représente l’autonomie : ce qui nous laisse en paix.

Nous sommes donc en même temps le Principe de nos arrière-grands-parents, grands-parents et parents. A travers cette lecture, voyons quel sens cela peut avoir pour nous.

• Arrières grands -parents – (Energie/Projet, nous permet de nous situer, de nous identifier)

A 8 ans, Lise vit un événement qui la marque profondément : pour « jouer à la maman », elle part se promener avec la poussette de son petit frère qui a 1 an et se perd dans le quartier; ce sont les gendarmes qui les ramènent à leur mère, très stressée par cette disparition. Elle est vertement réprimandée et sa mère conclut par ces paroles : «Tu n’es pas capable de t’occuper d’un enfant !».

A 45 ans, Lise développe un cancer du sein peu après avoir découvert que son fils de 15 ans fume du haschisch. Elle se sent coupable de n’avoir pas pu éviter cela, en tant que – « bonne » – mère et, dans son inconscient biologique, la découverte de la conduite de son fils, la renvoie au vécu de son enfance. C’est le facteur déclenchant de son cancer.

Quelques temps plus tard, Lise apprend que son arrière-grand-mère a eu un enfant à 15 ans et qu’on le lui a retiré pour le confier à sa sœur aînée, déjà mariée, en lui déclarant : « Tu n’es pas capable de t’occuper d’un enfant. ». L’arrière-grand-mère de Lise n’a donc pas pu élever – nourrir – son enfant.

Quel sens tout cela a-t-il pour Lise ?

– Principe exprimé par le cancer du sein : « ce que je suis est nourrissant ».

– arrière-grand-mère/ Energie Projet : cela signifie que, pour se situer dans la vie, Lise doit cesser de vouloir nourrir sa création. Elle n’a pas à faire pour nourrir : c’est en étant vraiment elle-même qu’elle nourrit.

Lise, qui est enseignante, réalise qu’un de ses stress profonds se relie à la même énergie : elle investit beaucoup de temps et d’efforts dans la réussite de ses élèves : elle s’identifie à leurs résultats comme si elle ne pouvait se reconnaître une valeur qu’à travers une action.

Lise restituait ainsi – dans le Principe, en Energie-Projet – l’histoire de son arrière-grand-mère. Le fait d’en prendre conscience lui a permis de se situer différemment tant au niveau familial qu’au niveau professionnel au grand bénéfice de sa santé.

 

• Grands-parents (Energie Réalisation ; action juste)

Sylvia est conseillère en placements boursiers. Elle aime ce travail qui lui permet d’accumuler des valeurs en bourse parce qu’elle est très soucieuse de sa sécurité matérielle, mais elle sent bien que sa vie ne la satisfait pas totalement.

A 35 ans, le grand-père de Sylvia qui fait partie de l’élite d’un pays au régime de plus en plus totalitariste, décide de s’exiler en France, ce qui le contraint à abandonner tous ses biens.

En réalisant que cela lui indique que son action (grands-parents) au quotidien est de cesser de se sécuriser par l’attachement au matériel (Principe), Sylvia a décidé de dépenser son argent pour son plaisir et a constaté que sa vie devenait de plus en plus fluide, légère et créative sur tous les plans.

 

• Parents (Energie Concrétisation / accomplissement : ce qui nous laisse en paix)

Gilles, est un sportif, axé sur la performance et le dépassement de soi : il se « bouscule » en permanence.

Sa problématique profonde est de vivre en permanence dans « la peur de déranger ». Il se retrouve toujours dans une situation où on lui fait remarquer qu’ « il tombe mal », ce qu’il vit très difficilement.

Le père de Gilles est contrôleur aérien et passionné d’astrologie. Pour lui, tout doit en ordre (contrôleur aérien), dans la bonne « maison » (astrologie). Au point qu’il a programmé la naissance de son fils pour qu’il soit Sagittaire. Et, de fait, Gilles naît un 19 Décembre – deux jours avant le signe du Capricorne -, mais il est « bien à sa place »…

Le Principe exprimé par la vie de son père est : il ne faut pas déranger –

bousculer-les choses, tout doit être à sa place.

Gilles découvre que c’est lorsqu’il se respecte – sans se bousculer, sans chercher à se dépasser- qu’il peut s’installer dans une vie qui le laisse en paix.

 

Pour conclure, nous sommes notre généalogie et le Principe des événements de la vie de nos ancêtres est notre créativité.

Précisons qu’il n’est pas nécessaire d’aller chercher des informations sur notre généalogie pour comprendre les événements de notre vie, car en lisant notre arbre généalogique hors du temps, nous réalisons que notre arbre est à l’image de ce que nous vivons aujourd’hui en tant qu’individu : en d’autres termes, nous sommes « acteur » de notre arbre à chaque instant de notre vie.

Jean-Philippe Brébion

www.bioanalogie.com

contact@bioanalogie.com

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L’évidence

Bonjour,

Le livre:”l’Evidence” de mon ami  et enseignant, Jean-Philippe Brébion, vient de sortir.

A cette occasion voici cette vidéo:

“Comme la plupart des gens, vous avez l’habitude d’interpréter les événements de votre vie soit en positif soit en négatif – soit en bien soit en mal. Vous oubliez qu’il existe un troisième plan : le milieu, le neutre, la rencontre, le vide… Un troisième plan qui permet de changer de regard, d’enlever leur poids aux événements et de vivre dans une grande paix intérieure en devenant pleinement auteur de votre vie.
Vous apprenez ainsi à changer la nature de vos questionnements : vous passez de « Pourquoi ça ? » à « Comment le résoudre ? »

« Plutôt que de chercher à donner un sens à la vie, nous comprenons comment la vie prend sens en nous » (L’Empreinte de naissance, Ed. Quintessence). Tout ce qui vous arrive est en effet porteur d’un sens. La Loi du Principe vous apprend à révéler le sens des choses et des événements de votre quotidien, ou ceux du passé, pour les considérer d’un regard différent.”

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Clés de rencontre, clés de santé…

pierres-zen.jpg

Aujourd’hui, je vous joins l’information qui suit et vous invite à faire ces ateliers avec mon ami Jean-Philippe Brébion, auteur de “l’empreinte de naissance”, et dont je vous ai déjà parlé.

Vous savez donc, qu’ayant suivi toute sa formation en Bioanalogie,qu’il m’arrive d’utiliser cet outil dans mes séances de Sophro-analyse.

 

j’en tiens compte aussi dans mon quotidien, et j’avoue qu’il m’a permis de faire bien des prises de conscience et surtout d’intégrer les informations.

 

Je pense qu’il n’y a pas qu’une méthode pour se soigner, et grandir et je trouve intéressant d’avoir “pleins d’outils”, d’apprendre à s’en sevir, bien entendu, pour avoir le choix.

 

En Novembre à Paris,

Deux Séminaires avec Jean-Philippe Brébion

(Ouvert à tous)

Vendredi 25 Novembre Les Clés de la rencontre. (Un jour) Dés Clés chiffrées pour une communication sans tension.

Lieu : « L’arbre au oiseaux »60, rue St Sabin 75011 Tarif : 110€

Samedi et Dimanche 26 et 27 Novembre. La loi du Principe et la Clé de la Santé (Deux jours) Apprendre à lire les signes de la vie avec la Loi du Principe, dans la certitude absolue que chaque chose à un sens… »

Inscriptions : Jean-Pierre Dubois Tél. 06 24 96 05 31  duboisjpcab@orange.fr

Atelier pratique avec les cas concrets des participants.

Lieu : « Forum 104 » 104, rue de Vaugirard 75006 Paris Tarif : 220€

 Horaire : 9h00 à 17h30

Tarif préférentiel : pour les 3 jours (25-26-27 Nov.) 300€

Les Clés de la rencontre

Dés Clés chiffrées pour une communication sans tension.

Séminaire pratique 1 jour de 9h à 17h30 (Ouvert à tous sans pré requis)

 En une journée, ajoutez des clés à votre communication, et vous transformerez la relation dans votre famille, votre vie professionnelle et vous-même !

 Que vous soyez parents, enfants, frères, sœurs, cousins, cousines vous n’êtes pas à l’abri d’être confronté à une problématique relationnelle dans votre famille.  Cette journée va vous passionner et vous aider à transformer votre vie.

Généralement, nous communiquons avec les autres de la même façon, avec notre propre vision du monde sans connaitre les modalités spécifiques à chacun.

Savez-vous que la Bioanalogie a révélé des Clés chiffrées personnelles pour chaque individu et pour chaque type de relation ?  Ces clés très simples dans leur fonctionnement, nous permettent de comprendre la structure inconsciente profonde propre à chaque être humain.

Tout en vous amusant à découvrir les clés de rencontre, vous apprendrez à communiquer avec vos enfants, conjoint, conjointe, parents, employeurs, d’une manière écologique, consciente et « gagnant-gagnant », pour le bien de tous, dans une communication fluide et évolutive.

Avez-vous déjà remarqué que pour qu’un même message soit entendu par deux personnes, parfois, il faut le verbaliser différemment. Pour l’un, on doit parler en ouverture, pour l’autre, en relation humaine. Imaginez, avoir le mode d’emploi pour entrer en relation avec vos proches…!!

 Deux Exemples :

 Ø  Pierre a deux  fils, Simon 14 ans et Alex 16 ans. Ces deux frères s’entendent biens mais n’ont pas de bons résultats scolaires car ils ne semblent pas très motivés par leur études. Pierre décide de leur parler de leur scolarité et de l’importance que cela représente pour leur avenir. Avec Simon le chiffre de la relation est 5, Pierre va lui montrer combien ses études vont lui donner de la liberté dans sa vie. Avec Alex le chiffre de la relation est 7, pour lui Pierre va lui montrer combien ses études vont lui permettre de se réaliser et d’être auteur de sa vie. Cette simple discussion a changé le regard de ses fils sur la vision de la scolarité.  Ils trouvent leur motivation.

Ø  François et Marie sont mariés. Ils ne comprennent pas ce qui les conduit à avoir régulièrement des querelles entre eux. Leur chiffre de relation est 8, ils ont réalisé que leur conflit naissait chaque fois que l’un voulait contrôler l’autre. Depuis, ils ont établis un code, le premier des deux qui perçoit une fermeture chez l’autre lui dit : « Est-ce que tu trouves cela juste ? ». Cette phrase devient magique, car elle désamorce immédiatement le conflit, et la discussion peut s’ouvrir à nouveau.

En une journée, vous aurez les éléments nécessaires pour communiquer avec votre famille.

Non seulement ces relations seront plus fluides, plus respectueuses, plus humaines, mais votre vie de tous les jours va changer car vous pourrez utiliser ces clés non seulement avec toute votre famille, mais aussi dans vos relations quotidiennes et professionnelles.

Votre vie deviendra plus conviviale et votre environnement plus épanouissant.

 « La loi du Principe et la Clé de la Santé » 

Séminaire pratique de 2 jours de 9h à 17h30 (Ouvert à tous sans pré requis)

Apprendre à lire les signes de la vie, c’est avoir la certitude absolue que chaque chose à un sens… »       Oui, mais lequel ?

C’est « L’Evidence » que vous pourrez découvrir grâce à la « Loi du Principe ».

Il n’est pas toujours facile de comprendre ce qui nous arrive, ni évident de donner un sens à un événement douloureux et compliqué…

Ce séminaire vous permet de développer votre habileté à lire différemment, les problèmes, les épreuves, les rencontres, les maladies, les pathologies les douleurs ….

Comme la plupart des gens, habituellement nous interprétons les événements de notre vie soit en positif soit en négatif – soit en bien soit en mal. Nous oublions qu’il existe un troisième plan : le milieu, le neutre, la rencontre, le vide… Ce troisième plan autrement appelé en Bioanalogie, le Principe, permet de changer de regard, d’enlever leur poids aux événements et de vivre plus consciemment en paix en devenant pleinement auteur de notre vie.

Ce nouveau regard est une révolution !

Vous apprenez ainsi à changer la nature de vos questionnements : vous passez de « Pourquoi ça ? » à « Quel sens se révèle Ici ? »

« Plutôt que de chercher à donner un sens à la vie, nous comprenons comment la vie prend sens en nous » (L’Empreinte de naissance, Ed. Quintessence). Tout ce qui nous arrive est en effet porteur d’un sens. La Bioanalogie nous apprend à révéler le Principe des choses et des événements de notre quotidien, ou ceux du passé, pour les considérer d’un regard différent.

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La maladie: amie ou ennemie? ( suite)

Parlons un peu du coeur:

le coeur est ce qui nous anime, et dans ce système coeur-vaisseaux, nous sommes corps et âme tout “entier” dans nos entreprises, nos réactions, dans cet investissement artériel et dans ce (manque de “retour” veineux avoir le coeur à l’ouvrage, y mettre tout son coeur, se faire un coup de sang, être au coeur de l’action…)

Le souffle, c’est la vie, la joie de vivre et de respirer, c’est aussi le rythme, savoir se reposer, souffler, c’est aussi l’espace qui quelquefois nous manque tu me pompes l’air), c’est cet échange par lequel nous respirons cet air de notre ennemi dont il faut se protéger.

En mangeant et en buvant, nous assimilons le côté matériel comme émotionnel de nos expériences de vie, nous croquons la vie à pleines dents, ça nous reste sur l’estomac, à moins que la vésicule biliaire ne vienne nous dire avec un mélange d’anxiété et de colère que cette expérience-là est un peu “grasse” et lourde à digérer (se faire de la bile)(ça a un goût amer)…

L’intestin grêle discerne et trie, le foie veut faire “sien” toutes ces choses, les posséder dans un désir parfois “boulimique” et dangereux de certaines expériences de vie qu’il aurait fallu éviter avec sagesse.

Le côlon élimine au prix d’une alchimie laborieuse qui lui permet de renoncer à des choses passées, de ne pas retenir mais au contraire d’avancer et de tourner la page, plutôt que de se dire: “ça me fait ch…”

Le pancréas parle de la douceur de vivre, cette notion nous aide à digérer, il gère l’énergie de nos entreprises.La rate est un cimetière, lieu de toutes les nostalgies, des choses inachevées, mais aussi du retour à la terre et du sens de la mesure (courrir comme un dératé), comme de ce qui se passe sous cette terre.

Les reins balancent, pèsent le pour et le contre et décident, mais ils aident aussi à faire face à la vie à travers les “reins solides” de la colonne lombaire, comme à surmonter ses peurs (pisser dans ses frocs) grâce aux surrénales.

Puis cette émotion usée est rejetée par la vessie à travers laquelle l’animal que nous sommes veut définir son teritoire.Les gens qui n’ont plus le sens de leurs limites, on dit “qu’ils ne se sentent plus pisser”.

A suivre..

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La bioanalogie

 

Je vous avais promis de vous parler de ma formation en Bioanalogie: le moment est donc venu et je vais tenter de rendre mon propos clair et compréhensible.

 

“La Bioanalogie”, c’est voir, comprendre et réaliser que les symptômes de la maladie et le vécu intérieur sont l’expression d’une seule et même réalité non séparable, et que chaque élément de notre vie, chaque instant de notre histoire, chaque partie de nous-même est à l’image de la totalité de notre vie.

 

L’homme est issu de la biologie animale, et la partie “reptilienne” de notre cerveau,fonctionne sur cette mémoire de l’animal et représente notre biologie.

 

En sachant que l’animal est soumis à l’instinct et que pour lui, l’instinct c’est la survie.

 

Nous pouvons dire que l’animal inconscient en nous est garant de la survie de l’espèce.Ainsi, le seul temps qui compte en biologie, c’est le futur.

 

Pour être plus clair, disons que dans la vie nous subissons différents stress plus ou moins importants;un stress étant une situation qui nous met en conflit, face à une problématique non résolue. Cette problématique, dans notre inconscient,met en jeu notre avenir et ne nous permet pas de vivre pleinement l’instant présent.

 

Part conséquent, ce stress nous met en danger et notre cerveau sait que nous avons un certain seuil de tolérance de celui-ci.

 

Pour le “cerveau biologique animal inconscient”, si nous franchissons ce seuil, nous ne serons plus apte à assurer la survie de l’espèce, et si elle n’est pas assurée:c’est la mort.Notre cerveau doit alors trouver une solution pour faire diminuer ce stress afin d’assurer la survie.

 

A savoir que dans l’inconscient biologique “comme si” correspond à “c’est”, le cerveau fait une lecture au premier degré.La maladie devient alors la solution parfaite du cerveau pour diminuer le stress et assurer momentanément la survie de l’individu et donc de l’espèce!

 

Nous pouvons comprendre que toutes les maladies ont un sens et toutes sont l’expression, dans le ressenti de chacun, d’un conflit en profondeur.

 

Bien évidemment, nous avons tous, face à une situation, des ressentis différents car nous avons tous une histoire particulière, un vécu unique, une mémoire familiale différente.

 

Nous chargeons ces programmes à différents moments de notre histoires, mais il en est un privilégié qui se situe autour de la grossesse.

 

Cette période correspond aux 9 mois précédant la conception,plus les 9 mois de la grossesse, plus les 9 mois après la naissance.C’est cette période de 27 mois qui va être déterminante.Pendant cette période, le vécu et le ressenti du père plus le vécu et le ressenti de la mère se chargent comme un programme que l’individu va exécuter comme si c’était le lui…L’embryon vit en vibration cellulaire avec son père et sa mère.9mois, temps de la gestation inscrite dans la mémoire biologique pour passer de la source parentale à la conscience de soi.

 

Lorsque une femme réalise qu’elle est enceinte, elle pense immédiatement qu’elle va accoucher dans 9 mois parce que cette réalité biologique est inscrite en chacun de nous depuis que l’homme est homme. Cette loi biologique crée un programme commun à tous les humains: tout ce qui se conçoit prend sa réalité au bout de 9 mois.

 

Le cycle de 27 mois, cycle d’imprégnation correspond à notre inconscient biologique cellulaire animal et se nomme l’Empreinte de naissance.Tout comme notre forme issue de la rencontre unique entre cet homme-là et cette femme-là à cet instant-là.C’est notre “Big-Bang” à nous!

 

Cette empreinte est donc une rencontre entre un homme et une femme, à un instant “T”, une forme unique capteur de la totalité de la vie.C’est donc à cet instant-là que commence notre identité.

 

En résumé, nous sommes le vécu et le ressenti de nos parents.

 

Le programme de cette empreinte de 27 mois est notre programme de base: pour notre cerveau biologique, ce programme est celui qui donne la vie.

 

Pour lui c’est le seul programme possible et il l’exécute en permanence de 27 mois en 27 mois.

 

La guérison implique de passer de la pensée à la conscience et pour cela il faut sortir du temps chronologique afin d’accéder au Présent, maintenant.

 

A la lecture de notre empreinte, tous les évènements de notre existence prennent un sens.

 

Notre empreinte n’est ni “bien” ni “mal”: elle “EST”.

 

“Laisser la vie prendre sens en nous ” plutôt que de tenter sans cesse de “donner du sens à notre vie”

 

Nous sommes 100% programmés, 100% libres de choisir.Prendre conscience de notre empreinte nous rend libre de choisir comment la vivre.Cette liberté appartient à chacun de nous.

 

Je fais cette formation avec Jean-Philippe Brébion, créateur de la Bioanalogie.

 

Cet outil, je l’adapte à mon travail en Sophro-Analyse.

 

Je trouve qu’il permet de révéler de mettre en évidence nos Talents.

 

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à me contacter.

 

 

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