Le point de vue de Serge Fitz sur la maladie

Aujourd’hui, j’ai envie de vous faire découvrir, si vous ne le connaissez pas, Serge FITZ:

SERGE FITZ , “Chercheur dans l’âme”
Auteur de nombreux ouvrages sur la géobiothérapie et la santé, Serge Fitz prône l’épanouissement de l’Etre par la conscientisation des entraves à la réalisation de soi-même (et non par l’acquisition de nouveaux savoirs ou de nouvelles techniques).  Créant le concept de l’éco-médecine, il se livre à une véritable écologie de la santé. La particularité de sa démarche réside dans l’utilisation de la radiesthésie appliquée. Cet outil permet en quelques minutes de dresser un check up complet mettant en évidence les freins à la libre circulation des énergies. Cette approche rend perceptible à tout moment le filigrane « fractal » des obstacles en cause : biologiques, psychologiques, géobiologiques, karmiques, spirituelles et environnementales, au niveau des corps subtils et physique. Elle place à tout moment l’individu au centre d’un enjeu : s’épanouir et se réaliser par la levée des obstacles et non par l’apport de forces extérieures, ce qui équivaudrait à accélérer, alors que le frein (inconscient) est toujours serré ! Mis en pratique dans les ateliers de Terre et Ciel, ce concept donne à tout un chacun, la possibilité de découvrir son propre potentiel

Je viens de lire un article qu’il a écrit et qui me parle beaucoup. je vous le donne ici à lire, car peut-être, comme moi, il vous fera réfléchir.

Je suis convaincue, que la maladie a quelque chose à exprimer. A nous faire exprimer. Je l’ai trop longtemps vu et ressenti avec ma mère, il était indéniable qu’en étant malade elle recherchait quelque chose qu’elle ne savait obtenir autrement. Aujourd’hui, moi-même à travers l’épreuve que je vis, je prends le temps d’aller rencontrer ce que ce “cancer du sein” à gauche, me fait vivre. Je touche du doigt, de la pensée aussi ce qui n’ose s’exprimer clairement. Ce n’est pas un chemin facile, mais il me montre ce que j’ai encore à nettoyer au niveau de mes croyances.

Ce n’est pas parce que j’ai une casquette de “Sophro-analyste” que je suis à l’abri de tout! (J’aimerais!), NON, je suis juste un être humain doté d’une éducation, de croyances, de peurs, de questionnement comme tout à chacun.

Moi aussi, j’ai parfois la trouille d’aller regarder tout au fond de moi, et pourtant, pour me donner du courage, je me dis cette citation de Victor Hugo:

“Soyez comme l’oiseau posé pour un instant sur des rameaux trop frêles, qui sent plier la branche et qui chante pourtant, sachant qu’il a des ailes.”

Alors, je me sens comme l’aigle*, celui de mes méditations qui m’a donné tant de courage, et je me met au contact de ma puissance intérieure de guérison.

* Voir dans mes anciens post la méditation sur l’aigle. Si vous ne la trouvez pas, n’hésitez pas à me le faire savoir et je vous la redonnerai.

Belle journée à vous tous!coeur de pétales de rose

Champs unifiés de la conscience santé
Affronter la maladie par «le vouloir guérir» est un leurre, car le dénouement se situe sur le terrain des causes et des enjeux cachés du malade.

Lorsque la santé  d’un individu se dégrade, il est convenu de considérer qu’il est atteint d’une maladie qu’il faut combattre à tout prix.  On se place d’emblée dans un terrain d’affrontement, sans chercher à comprendre les raisons de son apparition. Le malade  est invité à lutter contre sa maladie avec une armada de moyens chimiques destinés à bloquer la réaction du corps. Sachant qu’en pareille situation, l’individu se trouve  généralement lui-même en conflit sur le plan relationnel ou affectif, le terrain de l’affrontement se trouve étendu. Une véritable guerre sur tous les fronts ! Le stress est à son maximum.

Difficile à supporter !
Sachant que le stress est, en tant que tel, pathogène, on peut facilement présumer qu’il y a une incohérence dans cette manière de gérer la situation.

Qu’en est il ?
La maladie est une notion abstraite, mais sa personnalisation l’a transformé en un mythe. En réalité ce que l’on appelle maladie est une réaction du corps à quelque chose ou à quelqu’un. On ne peut par conséquent guérir d’une maladie. Quel que soit la forme du  dépistage employé,  il  éloigne le patient de son processus de guérison, car il ancre l’idée d’un état statique.

« Ce n’est pas la maladie ou l’infirmité qui guérit, mais la personne » ( Eric Pearl).
Il est donc essentiel de quitter le terrain des affrontements maladie / guérison pour entrer dans celui de la compréhension des causes.

ESPACES DE  DENOUEMENT DES SITUATIONS  PATHOGENES

Il arrive que la maladie s’installe en tant qu’écran de fumée entre deux personnes. Lorsque par exemple un enfant qui n’a pas été désiré, tombe malade, la lutte contre la maladie voile la réalité  de la situation. Elle crée une distance entre l’enfant, qui sait qu’il a été rejeté et le parent  qui se sent coupable et n’ose l’exprimer.  Elle donne la possibilité de ne pas affronter la vérité. Le rôle du thérapeute est de remonter à la source et de  montrer que les stigmates sur le corps de l’enfant révèlent un non dit, celui de l’occultation du rejet. Difficile d’avouer à son enfant qu’on ne l’a pas voulu. Mais l’enfant le sait et l’exprime par sa maladie.  Vouloir la guérir, vouloir le guérir, apparaît comme un non-sens.  Ce n’est pas l’enfant qui est malade, mais la relation entre lui et le parent. Dans ce climat de mensonges, un malentendu s’installe tant que la réalité du « mal à dire » n’est pas découverte.

Lorsque le nœud du problème est décelé alors tout s’éclaire subitement.

On ne parle plus alors de maladie, mais d’une relation à restaurer et de plaies affectives   à cicatriser. Lorsque ce processus entre dans sa phase de réalisation,  la maladie s’efface d’elle-même, car elle n’a plus de raison d’être.  Il est important de comprendre que vouloir guérir une maladie, sans en rechercher l’enjeu, revient à bâillonner l’expression, codée en symptômes, d’une souffrance psychologique et affective. La  solution n’est pas dans la guérison, mais dans la compréhension.

LE REFUS DE LA GUERISON

Cette compréhension peut aller jusqu’à découvrir que le malade n’a absolument pas envie de guérir, que la maladie lui sert de moyen pour arriver à ses fins, ou d’alibi ou bien encore de faire  valoir.  Combien de femmes sont inguérissables par ce qu’elles retiennent un mari volage par leur maladie.   Pour elles, la guérison  signifierait la perte de l’homme aimé. Combien d’hommes se réfugient dans la maladie par peur d’affronter le monde du travail qui les a bousculé.

Avant même de songer au vouloir guérir une maladie, il importe donc de ressentir et de découvrir sur quel terrain on se trouve. La découverte  du point d’achoppement permet de sortir de la dualité  maladie / guérison et entrer dans la perception  du champ unifié de la conscience santé.  Cette sortie permet de récupérer beaucoup d’énergie, qu’il devient possible de mettre à profit dans les processus d’auto – guérison. Le seul objectif à viser est la mise en place de tels processus, faute de quoi on confond guérison  et rémission.

Éric Pearl  met en évidence avec beaucoup de malice et de lucidité que dans le mot diagnostic,  il y a : di / deux et agnostique / celui qui affirme ne pas savoir ! Face au diagnostic, nous nous trouvons par conséquent dans une situation  tragi-comique de deux personnes qui ne savent pas de quoi exactement  elles  parlent. Le diagnostic éloigne le malade de son processus de guérison. Il est l’écran qui empêche  l’instauration d’un dialogue humain entre le médecin et le patient.  Le premier pose des étiquettes médicales sur des symptômes, le second reste privé de la possibilité d’exprimer son  mal être.  Tous deux effectivement ne savent pas, ne savent pas établir la passerelle entre le médical et l’humain, ne savent pas établir la passerelle entre l’humain et les enjeux de l’âme.  Nous sommes dans le quiproquo où chacun joue son rôle sans  « rencontrer » l’autre. Cela est d’autant plus regrettable que tout médecin persuadé, en toute bonne foi venir en aide au patient, affirme par l’étymologie du mot diagnostic qu’au fond, il n’a pas la gnose, il ne sait pas. Certains en prennent conscience et s’orientent vers les médecines parallèles. Ce chemin est parfois jonché de ronces et d’épines au risque de devenir un chemin de croix.

APPROCHES QUANTIQUES  DE LA GUERISON

De nouvelles approches ont surgi et font appel à une énergie matricielle permettant  d’œuvrer en dehors  de toute velléité de compréhension. Elles fonctionnent par un lâcher-prise et une confiance qui permet d’obtenir des résultats particulièrement intéressants. Nous avons quant à nous eu une immense joie d’y découvrir l’un de nos vieux préceptes du « je ne sais pas » qui à travers le vide ainsi ménagé permet de se remplir d’une solution toujours nouvelle (potentiel). Il y a quelque chose de magique dans cette démarche, mais il est vrai que dans la magie il y a l’âme-qui-agit et on sait, grâce à Grabovoï, que c’est elle qui construit et reconstruit le corps physique. Il y a donc dans ces nouvelles réalités une admirable et merveilleuse conjonction entre la science, la conscience et la spiritualité.©Serge Fitz décembre 2012

serguei.fitz@gmail.com   –  www.lequadrant.com    www.sante-info-russie.com/

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