Merci à tous ceux qui s’inscrivent sur ce nouveau site, et merci aussi à ceux qui le feront à l’avenir.
Comme vous pouvez le remarquer, ce site/blog est en voie de construction et d’améliorations. Aussi, comme je ne suis pas encore une grande experte en informatique(!), je rencontre quelques difficultés. Entre autre, celle de vous prévenir d’un nouvel article comme cela se faisait sur mon autre blog.
mais vous savez comme moi, qu’il n’y a que des solutions, et que la patience joue un rôle important dans l’évolution des situations…
Mon administrateur, et informaticien préféré, ne rentrant que dans quelques jours, je vous propose la chose suivante:
– en plus de vous abonner, inscrivez-vous aussi au flux RSS des articles, et si vous le désirez des commentaires. Ainsi vous aurez la possibilité de me suivre en attendant que tout cela se règle et s’affine.( sinon, je me sers encore de l’ancien blog pour vous prévenir!)
Je travaille aussi à l’élaboration des nouveaux ateliers de la rentrée.
Je prépare une conférence que je donnerai au salon du Bien-Être à l’isle sur la Sorgue en septembre. Mais tout ça ,je vous en parlerai plus longuement.
Comme vous le savez, je mets en sommeil la partie formation en aromathologie/olfacto et m’adonne désormais aux recherches liées au parfum et aux bienfaits des huiles essentielles.
Afin de vous accompagner au mieux, je vous recommande ma collaboratrice et amie Catherine Behar qui a reçu un enseignement complet en aroma. Je suis persuadé qu’elle vous transmettra sa passion et son savoir.
Votre dévoué
Jean Charles Sommerard »
J’ai envie de vous dire que je prendrai soin de cette transmission et que je partagerai mes connaissances et ma passion avec tous ceux qui voudront bien venir me rejoindre dans mes futurs ateliers. C’est un beau cadeau que me fait Jean-Charles.
Imaginez-vous que toutes ces phrases ont un impact profond et symbolique.
Nos pieds nous mettent directement en contact avec la terre-mère, celle qui nourrit l’homme dans son corps et dans son âme, et aussi, c’est elle qui souvent le reçoit dans sa tombe.
Nos pieds nous mettent en relation avec ce qui est concret, solide, on peut dire qu’il est porteur de vie dans son rôle et sa signification sympbolique.
C’est lui qui supporte tout notre poids.
En lui, sont concentrés les zones réflexes, les plexus et beaucoup de points d’acupuncture.
En prenant soin de nos pieds, en les massant, en faisant de la réflexologie plantaire, nous réveillons les forces d’autoguérison du corps, et aussi de l’esprit.
Il est important aussi, de bien poser son pied à terre, d’avoir un bon ancrage, cela permet d’acquérir plus de stabilité et de force intérieure.
Cela active l’énergie dans le bas du corps et amène du coup, plus de tranquilité et de confiance au niveau des pensées.
Il y a des personnes, quand on les regarde, on se dit: « tiens elle a l’air dans les nuages! » Eh bien , regardez son ancrage au sol… souvent, elles ont l’habitude d’être comme sur la pointe des pieds, leurs pieds ne sont pas posés… Et souvent d’autres sont pressé(e)s, dans leurs pas…
La nature, nous fait un cadeau merveilleux, avec un arbre majestueux dont on extrait une huile essentielle merveilleuse, tant par ses propriétés thérapeutiques qu’émotionnelles. C’est le Cèdre de l’Atlas, un des arbres , sinon l’arbre le plus symboliquement fort en matière d’enracinement et de puissance.
N’est-ce pas lui qui représente aussi la force et la sagesse de nos ancêtres, sans qui nous n’existerions pas? Quels qu’ils aient été, c’est bien parce qu’ils ont existé que nous sommes là aujourd’hui!… Quelle force!
Je conseille souvent aux personnes en difficulté d’ancrage, de commencer par respirer au flacon, cette odeur chaude et boisée, elle apporte une verticalité et un ancrage profond, elle amène une force tranquille et bienveillante qui permet de dépasser des peurs, le manque d’estime de soi, les moments de découragement. Elle recentre, ancre profondément dans la terre et nous remplit d’une force gigantesque.
Pour en revenir à nos pieds, on dit qu’ils sont aussi le miroir de l’âme.
Souvent bléssés, ils portent toute la souffrance physique et psychique passées, présentes et même à venir.
Savez-vous que le pied gauche se réfère symboliquement au présent et aussi d’un point de vue énergétique au masculin (yang); quant au pied droit, c’est le passé, le féminin (Yin). Leurs différences indiquent les blocages et les moteurs.
Un réflexologue tiendra compte de sa forme, sa chaleur,, sa couleur, sa réactivité, des mycoses, durillons…
Un pied fin, souple plutôt à tendance jaune sera le reflet d’un tempérament bois, en médecine chinoise, c’est à dire quelqu’un de plutôt gai, séducteur, ouvert, expansif et dans l’action.
Un 2ème doigt plié, cassé à la deuxième phalange, pourra traduire une estime de soi qui aura été bléssée…
En réflexologie plantaire on palpe les zones réflexes du pied, chacune correspond à un organe qui lui même est rattaché à une émotion.
Vous comprendrez aisément, que moi aussi, j’aime prendre le pied de certaines personnes, de les masser et de le faire avec des huiles essentielles adaptées à chacun.
Cette approche holistique, me permet d’adapter mon toucher et mon geste afin d’informer la zone réflexe et lui donner ainsi la capacité de se rétablir.
Les huiles essentielles utilisées seules ou en synergie et appliquées sur les pieds et en olfaction, vont venir soutenir le travail énergétique manuel grâce à leur potentiel bioéléctronique qui rééquilibre le sujet dans ses émotions.
Et pour terminer cet article, j’ai envie de faire un parallèle entre l’unité des huiles essentielles chez les plantes et celle de nos pieds.
Une plante ne peut pas prendre ses pieds à son cou, pour fuir ses prédateurs, une attaque virale, ou se déplacer pour choisir un endroit plus propice à sa croissance! Les plantes aromatiques se distinguent des autres végétaux. En effet, leurs actifs aromatiques leur servent à éloigner leurs prédateurs, à se protéger des attaques microbiennes ou bien encore à se fournir en sucre.
On peut dire que leurs principes actifs aromatiques ont la même fonction que nos pieds (!), ils leur permettent d’évoluer sur leur chemin de vie dans les meilleures conditions!
Ce qui se joue dans la relation, voilà ce que Jacques Salomé nous explique.
Les pièges les plus souvent rencontrés:
L’amour vrai, et le pseudo amour:
Et pour terminer sur le sujet, un texte d’Osho :
« Qu’est-ce que le vrai amour ?
L’amour a deux possibilités. Il peut être passionné et attaché : alors, c’est comme si vous aviez attaché une pierre au cou de l’oiseau de l’amour afin qu’il ne puisse plus voler, ou comme si vous l’aviez enfermé dans une cage dorée. Si précieuse que soit la cage – elle peut être incrustée de diamants et de bijoux – une cage reste une cage et elle empêchera l’oiseau de voler.
Quand vous libérez l’amour de la passion et de l’attachement, quand votre amour est pur, innocent, sans forme, quand vous donnez par amour sans rien demander, quand l’amour n’est qu’un don, quand il est un empereur et non pas un mendiant ; quand vous êtes heureux parce que quelqu’un a accepté votre amour et que vous ne le marchandez pas, que vous ne demandez rien en retour, alors vous libérez cet oiseau en plein ciel. Alors vous fortifiez ses ailes. Alors cet oiseau peut se mettre en route vers l’infini.
L’amour a fait tomber certains et a permis à d’autres de s’élever très haut. Tout dépend de ce que vous en avez fait. L’amour est un phénomène très mystérieux. Il est une porte – d’un côté se trouve la souffrance, de l’autre, le bonheur, la félicité ; d’un côté l’enfer, de l’autre le ciel. D’un côté se trouve le sansara, la roue de la vie et de la mort, de l’autre côté c’est la libération.
L’amour est une porte.
Si vous cherchez profondément en vous-même, vous verrez que votre amour n’est qu’un mot, les flammes du désir sexuel brûlent en lui. Mais exprimer directement sa flamme à quelqu’un, ce n’est pas acceptable, il faut de la diplomatie. Alors vous dites à la femme dont vous voulez posséder le corps que vous aimez son âme. Vous ne connaissez même pas votre propre âme, comment pouvez-vous donc connaître l’âme de l’autre ? Mais les gens qui sont pleins de convoitise pour le corps parlent de l’âme. Leur désir est de jouir du corps de l’autre, mais ils parlent de beauté intérieure…
Vous avez seulement été pris au piège de l’amour. Mais ce n’est pas l’amour qui en est responsable, c’est vous!
Si vous libérez l’autre par votre amour, si vous donner votre amour sans rien attendre en retour, sans conditions ni marchandage, si vous aimez en étant reconnaissant que quelqu’un accepte votre amour, n’est-ce pas suffisant ? Votre amour aurait pu être rejeté. Alors, peu à peu, vous découvrirez que votre amour commence à s’élever ; le désir sexuel est laissé loin en arrière. En sortant de la cage du désir sexuel, l’oiseau de l’amour peut planer très haut. Vous pouvez grandir dans une direction totalement nouvelle. Votre conscience pénètre alors dans un monde nouveau…
L’amour peut devenir libération, mais vous devez être conscient – vous devez rompre les attachements. Au lieu de cela, vous persistez à agrandir le réseau des attachements. Vous avez oublié ce qu’est l’amour, vous avez appelé la passion, amour.
Voilà une ancienne histoire soufie :
Il y avait un village au pied d’une montagne, entouré par des forêts. Les habitants de ce village n’avaient développé qu’une technique : ils coupaient le bois des forêts et en faisaient des statues, des meubles et autres objets utiles. Tous les villageois étaient devenus des charpentiers, car ils ne disposaient que de bois, c’était le seul matériau. Et le seul commerce de ces gens, c’était de vendre leurs articles en bois aux voyageurs qui traversaient cette vallée.
Un jour, un groupe de voyageurs arriva. Ils dirent aux villageois qu’il y avait un autre village juste au-dessus de la vallée où vivaient des gens au sommet de la montagne. » Y avez-vous jamais été pour vendre vos biens ? » demandèrent-ils. » Ces gens sont très riches et vous pourrez leur vendre vos produits. »
Les villageois n’en avaient pas entendu parler, car ceux qui habitent dans les vallées ne pensent jamais aux sommets. Ils étaient heureux dans leur vallée, ils étaient contents de leur pauvreté. Et escalader une montagne… c’est difficile ! Il est possible que par erreur, quelqu’un qui habite au sommet d’une montagne descende une fois dans la vallée, mais celui qui vit dans la vallée ne monte pas au sommet d’une montagne par erreur. C’est facile de descendre, monter est difficile.
Mais après avoir reçu cette information de différents voyageurs, certains jeunes du village décidèrent d’emmener là-haut quelques articles en bois : » S’ils sont riches, nous pourrons les leur vendre. » Les jeunes se mirent à grimper ; cela leur était difficile, car ils n’avaient pas d’expérience. Ils connaissaient la vie facile de la vallée. Aussi est-ce à grand peine qu’ils escaladèrent la montagne.
Ils n’y croyaient pas vraiment – cela pourrait n’être qu’une rumeur… » Pourquoi quelqu’un vivrait-il là-haut ? Comment est-ce possible quand la montée est si difficile ? » Pourtant ils arrivèrent au sommet fatigués, épuisés. Après un voyage de plusieurs jours, ils atteignirent le sommet de la montagne.
Ce qu’on leur avait dit était juste – la ville était superbe ! Les temples de la ville étaient pleins de pinacles dorés. Ces temples qui brillaient au soleil étaient d’une telle beauté, même dans leurs rêves, ces jeunes n’auraient pu l’imaginer. Ils ouvrirent leurs magasins au marché et invitèrent les passants. Ils montrèrent leurs oeuvres, mais les gens se moquèrent d’eux. Personne ne voulait en acheter. Ils finirent par leur demander pourquoi. On leur répondit : » Que ferions-nous de ces articles en bois ? Il y a ici des mines d’or et d’argent, nous fabriquons des statues en or. Que ferions-nous de ces statues de bois ? »
Ces jeunes ne pouvaient pas croire qu’il y eut rien de plus précieux au monde que le bois, qu’il put y avoir des statues plus précieuses que les leurs. Ils étaient troublés. Ils étaient déjà tristes, maintenant ils se fâchèrent. Ils étaient indignés par le comportement des gens. Les citadins leur dirent même : » Venez dans nos temples, et nous vous montrerons nos statues. » Mais ils étaient si bouleversés, si contrariés, qu’ils ne voulurent pas se rendre dans les temples. Ils redescendirent dans la vallée avec leur marchandise.
Quand les gens de la vallée leur demandèrent : » Que s’est-il passé ? » ils dirent : » Il y a bien des gens qui vivent là-haut, mais ils sont d’une nature diabolique. Et prenez garde à une chose, évitez-la – cela s’appelle de l’or. Bien que nous ne l’ayons pas vu, il semble que cet or soit notre plus grand ennemi. Ces gens nous ont maltraités, nous n’avons même pas pu vendre une seule statue ! »
On raconte que désormais, les gens de la vallée ne s’approchent plus de la montagne. Ils disent que ceux qui y vivent ne sont pas des amis, mais des ennemis : » Ce ne sont pas nos amis ! Et méfiez-vous de cet or, car c’est une menace pour toute notre culture. »
La situation est plus ou moins la même pour ceux qui ont vécu dans les vallées de l’amour et qui n’en ont pas encore connu les sommets. Sur les sommets de l’amour, il y a de l’or. Dans la vallée de l’amour, il n’y a que le déploiement de vos désirs, de vulgaires articles en bois. Celui qui vit dans les désirs et les passions a même peur d’entendre parler de cet or. Il dit : » Ceci appartient à nos ennemis. Nous sommes contents de nos désirs sexuels – ne nous parlez pas de ces choses supérieures. Ne troublez pas notre sommeil et ne brisez pas nos rêves. »
Je dis que vous vivez comme si quelqu’un vous avait présenté un palais, mais vous passez toute votre vie sous son porche, sans jamais entrer à l’intérieur, vous croyez qu’il n’y a rien d’autre que le porche. Le porche n’est que l’entrée. Plus vous entrez à l’intérieur, plus vous y pénétrez profondément, plus il y aura des sommets de béatitude et d’or.
Le désir sexuel n’est que le porche de l’amour : on doit le dépasser, on ne doit pas y vivre. Il n’y a rien de mal à traverser ce porche, souvenez-vous-en. Je ne condamne pas le porche. Vous devrez y passer si vous voulez entrer dans le palais – mais ne vous y arrêtez pas, n’en faites pas votre demeure, n’y restez pas figé, ne croyez pas que la vie se borne à cela. Passez à travers la sexualité – il le faut, c’est un aspect inévitable de la vie – mais traversez-le pour aller au-delà, de la même façon que vous empruntez des escaliers ou que vous traversez un pont pour aller plus loin.
De merveilleuses possibilités se cachent en vous. Vous avez connu l’amour en tant que sexe, en tant que passion, en tant qu’attachement. Vous ne connaissez que l’enfer de la vie. Et songez-y un peu, parfois même dans cet enfer, vous avez des aperçus de béatitude. Alors que dire du ciel ? Même dans le sexe vous entrevoyez la béatitude, même sur le porche quelque chose du palais se révèle. Si de l’encens brûle à l’intérieur du palais, son parfum atteindra même le porche. Si la paix règne à l’intérieur du palais, une certaine tranquillité descendra jusqu’au porche. S’il y a de la musique dans le palais, une certaine mélodie s’entendra aussi sur le porche.
Même dans le sexe, il y a un écho de l’illumination, un reflet du divin, mais ce reflet n’est rien de plus que celui de la lune sur un lac. Ce n’est qu’un reflet : le moindre trouble dans le lac et le reflet est détruit. Il n’a rien de réel, mais pourtant il est le reflet du réel. Dans le sexe se trouve le reflet de l’amour lui-même qui se forme sur un lac. C’est un reflet qui se forme sur le lac du corps et de l’esprit. Regardez en haut… Si vous avez trouvé que le reflet dans le lac est si beau, regardez la lune dont c’est le reflet…
Si l’on trouve tant de plaisir à l’extérieur du palais, comme ce sera mieux à l’intérieur. Si par hasard une mélodie se perçoit même dans un amour plein de passion et d’attachement, imaginez donc ce que ce sera quand votre amour sera totalement pur, quand les impuretés de la passion et de l’attachement seront tombées, quand toute la poussière, la saleté et les impuretés seront brûlées dans le feu et que l’or sera pur. Cette seule idée vous enthousiasmera et vous remplira de joie. Elle vous adressera une nouvelle invitation, une nouvelle quête s’éveillera en vous…. »
Imaginez-vous qu’en me promenant sur mon marché, j’ai trouvé un étal de petits pois qui me faisaient signe! Aussitôt achetés, et rentrée chez moi, je me suis installée dans ma cuisine et j’ai décidé d’écosser les petits pois…
Juste en passant, j’étais émotionnellement agacée par le fait que je n’arrivais pas à résoudre la panne de mon nouveau site, j’avais besoin d’occuper mon esprit!…
Me voilà donc devant le sac à petits pois, je plonge ma main et tire une cosse, bien verte et rebondie. Je presse celle-ci et aussitôt elle s’ouvre en deux, et la cette odeur caractéristique du pois, doucereuse, verte, fraiche m’envahie les narines! Je fais glisser mon doigt à l’intérieur de la cosse et là, miracle, une pluie de petites boules vertes se mettent à tomber dans mon plat.
Que du bonheur! Aussitôt, je recommence et me sent absorbée par ce geste, et ce féculent; je prends le temps de regarder, que dis-je d’admirer la structure, l’architecture, de l’intérieur. Je me dis que la nature est vraiment merveilleuse, voire magique. Et mon plat se remplit et moi j’en oublie mes tracas, je suis présente à ce pur instant de bonheur. Il ne me restera qu’à préparer. Ma recette préférée: une soupe de petits pois à la menthe avec quelques petits lardons!… Miam!
Tout ça pour vous dire que cette simple tâche, m’a permis de lâcher prise au blabla de mon mental et j’ai pu l’espace de quelques instants me mettre en harmonie avec tous mes sens.
Alors,si vous aussi avez un « blabla » dans la tête qui vous tarabuste, posez-vous et écossez des petits pois: ce sera un régal pour vos sens et une bonne façon de lâcher prise!
En fait j’ai retrouvé cet article que j’avais écrit le 4 février 2011, et je trouve amusant de le repartager à la date d’aujourd’hui avec vous, en guise de bienvenue sur ce blogue qui a rencontré depuis 2 3 jours quelques perturbations! Mais comme il y a toujours une solution à tout…
Voilà quelques temps déjà que je sens qu’il se passe des choses en moi: un désir de faire évoluer ma méthode de travail, une orientation plus définie.
Vous avez certainement remarqué en visitant régulièrement mon blog, que je m’étais mise à dessiner, que je parlais de plus en plus d’aromatologie…
Alors voilà: I have a dream!, oui j’ai un rêve, et je peux même vous confirmer que cette nuit, ou plutôt au petit matin (j’ai noté l’heure!: 4h4O! aujourd’hui),j’ai fait un rêve éveillé.
Je n’ai pas résisté à l’envie d’aller noter tout ce qui se présentait en pensées tellement je craignais de ne pas m’en souvenir exactement!
Un titre m’est apparu:
« Carnet de mes rencontres olfactives: Voyage des sens »
Dans un premier temps l’envie de partager ici même mes rencontres avec les huiles essentielles, ma façon de les aborder… les dessins qu’elles m’inspirent, la relation que je fais avec les nombres… Tout cela étant très personnel, bien que je me rende de plus en plus compte que ce que je ressens, ce que je devine d’elles est assez exact quand je me réfère après les avoir identifiées, à la propriété des molécules biochimiques qui les constituent.
Bientôt vous pourrez lire le livre collectif auquel nous avons participé,Guillaume Gérault, Jean-Charles Sommerard, Ronald Mary et moi-même, sur une idée de départ que j’ai eue et qui a évolué différemment qu’à son origine, mais je pense à présent dans un sens très positif, et très complet sur un thème qui m’est cher: l’aspect psycho-émotionnel des huiles essentielles.
Je ne peux pas encore vous donner son titre exact car nous ne l’avons pas encore défini avec l’éditeur ,pour nous il est encore sous son nom de code que je ne peux dévoiler ici! (un peu de mystère, et sa sortie prochaine tant attendue de certains n’en sera que plus appréciable!!!)
Bien évidemment, mon projet initial reste à faire et à écrire! Et là encore, je me rends compte que toutes les péripéties par lesquelles je suis passée dans l’accouchement de ce collectif (pas facile avec 3 « papas »,( et quels « papas »! de s’imposer en tant que « mère »!) m’ont guidée vers la forme que je voulais donner à mon idée première.
(Ca, je ne le voyais pas et ne le savais pas au début!). En passant d’ailleurs, un grand merci à mon amie Dominique, compagne d’un ami qui m’est cher, de m’avoir aidée à en prendre conscience.
Alors, voilà, ma participation dans les soirées de l’Aroma, organisées par Jean-Charles Sommerard, ami et complice « d’essence », me donnent l’envie, de créer des ateliers autour de ces rencontres.
Exactement comme je le fais moi-même, j’ai envie de vous faire participer à cette grande aventure, ce voyage des sens, et ensemble unir notre sens créatif pour découvrir leur impact psycho-émotionnel, voir en quoi elles peuvent nous accompagner, (tout cela en sécurité).
L’écriture de ce carnet, va donc commencer ici, les ateliers auxquels je vous proposerai de participer, ettayeront, avec votre accord, son évolution, vos témoignages, vos participations donneront une couleur de fond à ce voyage sensoriel.
Merci d’avance à vous. Je suis convaincue que vous prendrez un plaisir fou à l’ élaboration, à la création et la concrétisation de ce parfum de voyage des sens.
Merci aussi à vous d’en parler autour de vous.
Très prochainement, vous pourrez trouver sur le blog les dates d’ateliers que je vais vous proposer, avec le contenu de ceux-ci.
N’hésitez pas à faire des commentaires, des propositions, de partager vos idées!
