Cliquez sur le lien pour lire la vidéo:
http://www.youtube.com/embed/ZsY5FZW-K04


Cette vidéo d’Isabelle Padovani explique très bien le mécanisme de la douleur et de la souffrance.
Je vous invite donc à la regarder et à l’expérimenter.
Pour voir la vidéo, cliquez sur le lien ci-dessous:
http://www.youtube.com/embed/75iyAlSD-T4
Voilà un peu de temps que je n’écris plus!
je ne vous oublie pas, je suis juste descendue dans ma provence adorée, où je travaille, (eh oui, ça démarre!) et j’avoue que je savoure les quelques moments de calme et de beau temps ici.
Ce matin j’ai reçu ce message, alors ,je trouve que c’est une belle façon de reprendre contact avec vous tous!
Joli moment du film où vient ce passage à proposé de l’aide et du sauvetage. Alors, méditez bien sur le sujet… Et faites part de vos expériences.
Cliquez sur le lien pour voir la vidéo:
http://www.youtube.com/embed/0xevtGL80SY
Définition du mot « ARGENT »:
l’argent métal de la monnaie comme outil de régulation des échanges économiques.
L’origine du mot viendrait d’un étymon indo-européen *arg- signifiant « brillant » et serait l’équivalent en Sanskrit de ar-jun signifiant « brillant .
Pourquoi ce thème aujourd’hui?
Peut-être parce qu’il fait partie de notre quotidien, peut être aussi parce que c’est un des thèmes que nous allons aborder dans le cadre du Master de Sophro-analyse et sûrement parce que depuis 5h ce matin, je me suis réveillée avec ce thème dans mes pensées!
De plus, la synchronicité des choses est telle que dès que j’ai écouté la radio ce matin, à deux fois le mot argent est revenu sur deux thèmes qui m’ont interpellée.
Le premier au sujet d’un père musulman qui a battu sa fille de 13 ans à mort pour savoir si elle était encore vierge, qui a été condamné à 4 mois de prison et qui en est ressorti avec seulement une amende équivalente à 40000€ (parce que c’est une fille, c’eût été un garçon, le montant aurait été de 80000€!)…
Le deuxième sujet est en rapport avec les moyens donnés aux hôpitaux et au monde infirmier.
Et le troisième dont je ne vous ai pas parlé, fut le coup de fil d’une amie qui m’a raconté ce matin même un de ces rêves qui en gros lui parlait de la valeur qu’elle accorde à son territoire, valeur qu’elle connait, qu’elle estime mais qu’elle ne prend pas parce que ça ne lui appartient pas!…
Bref, l’argent est un vaste sujet, qui fait le bonheur des uns et le malheur des autres »…
Ou bien: « l’argent ne fait pas le bonheur »
Mon père disait souvant: « il ne fait peut-être pas le bonheur mais il calme les nerfs! »
d’autres vous diront: « l’argent n’a pas d’odeur » ou encore: « l’argent c’est sale etc, etc…
Tant de croyances, tant de choses dites et introjectées dans nos mémoires.
L’argent à quoi ça sert: c’est un moyen d’échange dans notre société. Toute chose a une valeur. Oui bien sûr, mais de quelle valeur parlons nous, ou comprenons-nous lorsque nous disons cela?
Vous, comme moi, avons une valeur: celle d’exister et d’être qui nous sommes. Ensuite, autour de nous nous allons être « évaluer » par rapport aux critères de chacun: ce que nous devons être, notre caractère, notre intelligence, notre capacité à aimer… tout cela sur une échelle de valeur qui nous a été inculquée.
Et puis nous arrivons à l’âge où nous allons rentrer dans la vie professionnelle, et là nous allons devenir « monnayables », eh oui, notre valeur à un coût! Et la façon dont celui-ci est fixé est encore en rapport avec toutes les croyances qui y sont liées. Donc très variables d’une personne à l’autre.
» L’argent est le nerf de la guerre »!
Guerre des nerfs, guerre du feu(!), guerre du couple, guerre tout court!
Avez-vous remarqué comment nous en parlons? nous ne sommes pas toujours très clairs ni très à l’aise avec ce sujet.
Quand on parle d’argent, il est question d’achat, de vente, de crédit, de dette, de placement, de valeur, quota, objectifs à atteindre… et tant d’autres choses encore.
En fonction du rapport à l’argent que nos parents, notre famille a eu, nous allons évoluer avec.
En ce qui me concerne, ce n’est pas un sujet simple. Dans mes souvenirs d’enfance, mes parents avaient un rapport à l’argent spécifique.
j’ai toujours entendu dire que mon père venait d’un milieu très très modeste, où l’argent ne coulait pas à flot, qu’il fallait travailler dur pour le gagner et qu’il avait été très courageux de faire une carrière par ses propre moyens( à la force de ses poignets!).
Il a eu une belle carrière de journaliste et publiciste, lorsqu’il avait de l’argent, il faisait attention, car toutes choses avaient de la valeur, pouvait être généreux, et aussi très « radin » (encore que là ,je ne développerais pas car il y a tant de choses à expliquer).
Dans son couple avec ma mère, c’est donc lui qui faisait bouillir la marmite, comme on dit, et avait placé ma mère dans une dépendance pécunière.
Je me souviens des histoires qu’il y avaient à ce sujet et bien évidemment, je me suis promis de ne jamais être dépendante de qui que ce soit!
Demander de l’argent pour moi est extrêmement difficile, encore aujourd’hui, je me sens continuellement en « dette ».
Quant à nous, ma soeurs et moi, mon père monnayait nos réussites: un p’tit billet par-ci, un p’tit billet par là!
mais gare, si le besoin se faisait pour nous de lui demander de l’argent pour une bonne raison…Cela devenait beaucoup plus compliqué!
Bref, chez nous l’argent était sujet à disputes.
Vous imaginez le chemin de cette introjection!…
Longtemps, j’ai eu du mal à « évaluer ma valeur professionnelle » et du coût, ma valeur « financière » lors de mes entretiens profesionnels. Je me sous évaluais, alors que dès qu’il fallait négocier pour des personnes de mon équipe lorsque je faisais des salons, il n’y avait aucun problème!, j’obtenais gain de cause!
Regardez aussi, les expresions que nous utilisons parfois dans nos relations, amoureuses, professionnelles, amicales… et qui sont les mêmes en rapport avec l’argent:
» je vais le lui faire payer »
« je suis en dette vis à vis de… »
» je ne lui fais, pas crédit ( pas confiance!) «
« elle ou il a de la valeur »
« je ne peux pas accepter ce cadeau, jamais je ne pourrais lui rendre la pareille »
Des comptes, et encore des comptes!
Bon, ce billet va vous parître peut être imcomplet, et vous aurez sûrement raison, mais il a la valeur au moins de nous interpeller.
Je vous en dirais peut-être un peu plus sur le sujet d’ici Mars, lorsque j’aurai participé au master.
En attendant, si vous avez des commentaires, n’hésitez pas, la rubrique « commentaires » et faite pour ça, et ils seront les bienvenus.
N’oubliez pas que j’ai envie que ce blog soit aussi un objet d’échange entre nous tous ( encore un mot à tendance, mais là, c’estun échange intellectuel!)
Alors à vos plumes et à très vite
Je partage avec vous l’info lettre de mon ami Jean- Philippe Brébion dans son intégralité et je vous invite à aller visiter son site si vous ne le connaissez pas encore.
Cette lettre, sujet sur lequel j’ai beaucoup travaillé déjà, me permet de me recentrer sur le sujet.
Je ne remercierai jamais assez Jean-Philippe, le jour où il m’a fait prendre conscience de l’inattendue et de la ressource que j’ai à exploiter par rapport à ma naissance!
Aujourd’hui encore, en relisant ce qui suit, c’est évident pour moi qu’il y a quelque chose qui se rejoue et que si je n’y prends garde, je vais rejouer dans la souffrance de sa première interprétation. Ca a été comme un déclic!
Belle lecture et bonne méditation sur le sujet.
Infolettre : février 2013
Loi du Principe :
Sens de notre naissance 1
par : Jean-Philippe Brébion
Comment suis-je né ?
On sait l’intérêt que je porte aux événements qui entourent la naissance, qu’il s’agisse de notre propre venue au monde ou de celle de nos enfants.
Il y a de nombreuses façons de venir au monde…
Ce mois-ci, je propose donc de nous arrêter sur la question : Comment suis-je né ?
Rappelons que les programmes de notre Empreinte de Naissance sont issus de la manière – ressenti – dont nos parents ont vécu un évènement et non de l’évènement lui- même.
En revanche, comme nous allons le voir, le Talent créatif à notre service est directement issu – selon la Loi du Principe – du Principe, neutre, de l’évènement.
• Moi je n’étais pas attendu…
«Oui, mais moi je n’étais pas attendu, pas désiré ! ».
J’ai bien souvent entendu cette phrase, dite avec une grande souffrance et la certitude ancrée en la personne, qu’en raison de cette non attente parentale, elle ne pouvait pas être heureuse.
Si vous vous sentez concernés par cette croyance, je vous propose d’écouter ce qui est inscrit au plus profond de vos cellules.
Dans le Principe « pas attendu » signifie, bien sûr : inattendu et « pas désiré » : pas de désir particulier.
Ce qui se relie au Talent créatif – unique en vous et non encore révélé- : capacité extraordinaire à vivre l’inattendu, à se laisser surprendre dans l’ouverture à tous les possibles, car il n’y a pas de désir particulier à assouvir.
Puissiez-vous désormais sentir en vous cette créativité sans limite, cette liberté dans la quiétude, liée à la capacité de vivre pleinement le présent, puisqu’il n’y a aucune attente.
• « Ce n’est pas le moment ! »
Avez-vous le sentiment de ne jamais avoir de place ou de ne pas être à votre place, de ne jamais intervenir au bon moment, d’être « comme un cheveu sur la soupe » !
Il se peut qu’au moment où vos parents ont réalisé que vous alliez arriver, leurs conditions matérielles – ou autres- n’étaient pas celles qu’ils souhaitaient pour accueillir un enfant.
On peut le vivre comme une fatalité et continuer ainsi à se sentir victime de non attention de la part d’autrui, avec le sentiment de ne jamais être à sa place.
Mais il est possible de regarder les choses différemment :
Quel est le Principe de « ne pas avoir de place » ?
Il est, mot à mot ! : ne pas avoir de place.
Ce qui signifie ne pas être identifié à une place -relationnelle, par exemple- , un lieu ou une fonction. En effet, ma place n’est pas d’où je viens ou là où je vais, mais là où je suis : elle n’est pas à l’extérieur de moi, elle est ce que je vis en moi. Si je veux une place, je ne suis pas à ma place : ma place est ce que je suis et non la fonction ou l’action que je peux avoir ou faire.
Grâce à ce regard, je peux accéder au cœur de moi-même, sans dépendance – sans chercher une place à l’extérieur ; je peux vivre ma vie intensément, libre de tout but à atteindre puisque je suis mon propre but : ma propre place.
• « Je me sens incomplet, inachevé ; je cherche mon âme sœur… »
Au cours de séminaires, il est également fréquent d’entendre certaines personnes faire part d’une sensation de manque permanent et d’une profonde insatisfaction existentielle. Leurs propos les plus fréquents sont : « Je me sens incomplet, inachevé ; je cherche mon âme sœur et même : « il me manque cet autre unique que moi même ! ».
Ces personnes ont sans doute eu un jumeau -ou une jumelle- en début de vie intra-utérine mais celui-ci a disparu en cours de grossesse, pour une raison ou pour une autre. La perte d’un jumeau est beaucoup plus fréquente que l’on pourrait le penser, car certaines passent totalement inaperçues.
On le sait désormais, aucun évènement, quel qu’il soit, ne programme quelque chose qui ne soit pas porteur de conscience et de créativité.
Que peut-on en dire ?
Selon la Loi du Principe , « un autre unique – comme moi- est parti » se traduit : il faut laisser partir cet autre unique que moi-même.
Cela nous propose de cesser de chercher un modèle, une référence à l’extérieur de nous. Nous n’avons à ressembler à personne d’autre qu’à nous-même !
Chaque fois que nous sommes dans la recherche d’une reconnaissance extérieure, nous sommes dans l’illusion car ce que nous sommes est unique sans référence, ni validation.
Croire qu’il faut être validé, reconnu par un autre, signifie mettre sa propre valeur à l’extérieur : toute comparaison de soi est une négation de soi.
Notre guérison – notre dimension spirituelle- est de faire vivre intensément et sans référence ni comparaison l’être unique que nous sommes.
C’est le Talent créatif inscrit dans la disparition d’un jumeau au cours de la grossesse.
A travers ces exemples, nous comprenons combien il est important de ne pas se situer en victime ; de ne pas prendre pour soi l’histoire ou le vécu de nos parents : ce n’est pas nous personnellement – identifié avec un prénom, etc. – qu’ils n’attendaient pas ou qui n’avait pas de place, mais un enfant indéfini, un « concept d’enfant ».
Pour terminer, rappelons que le Talent créatif n’est accessible que si l’on intègre le fait que tout ce qui nous arrive est à notre service.
Ainsi, nous avons le choix de continuer à nous poser en victime de l’histoire – de ce qu’on fait ou pas fait nos parents – et de vivre les évènements comme une fatalité ou bien, de décider de nous installer dans la certitude absolue que si ce passé appartient à notre histoire, c’est qu’il est à 100% porteur de toute notre créativité et au service de la conscience en nous.
Par Jean-Philippe Brébion
La vie est une danse, et pas n’importe laquelle!
Tout est mouvement. Notre corps a gravé des émotions, nous pouvons apprendre à lui donner d’autres informations, pour que cela puisse se transformer.
Nôtre corps est un temple, apportons lui ce qu’il y a de meilleur.
Accueillons l’imprévu, dansons avec lui!
La danse qui est la plus expressive en la matière pour moi, est le tango!
Un corps à corps, des émotions et aussi un lâcher prise qui permet de se laisser aller dans le mouvement…
Lorsque vous laissez votre corps se mouvoir, danser, votre mental lâche.
Un petit exercice que je vous propose:
mettez de la musique, ne cherchez pas à imposer un rythme à votre corps, écoutez, respirez, et laissez votre corps se mettre en mouvement.
Il se peut qu’il ne se passe rien…. pas de panique, écoutez ce qui se passe, votre corps vous donne une information, sur une partie de vous.
Regardez de quoi vous pourriez avoir besoin en étant ce corps pour vous laisser aller au rythme de la musique et de ce qu’elle vous inspire…
Et si votre corps se met en mouvement, soyez ce mouvement, oubliez tout, les regard extérieurs, ceux que vous pouvez aussi poser sur vous.
Dansez, accueillez! devenez la musique, devenez la danse!