Archives de l’auteur : Catherine

À propos Catherine

Un site pour aller à l'essentiel, être au coeur de soi, où je partage avec vous différentes méthodes pour se sentir bien, en accord avec soi-même.

Le parapluie

Bonjour à vous,

Ce matin, j’ai reçu ce billet de Dominique Allaire » que je vous propose ci-après:

 

« Quand il pleut à pleins cieux. Quand le temps gris s’abat sur ma vie. Quand la grisaille me serre les entrailles. Je me recroqueville et trouve abri dans le seul endroit où je sais que la lumière luit et toujours luira. Là où crépite mon feu de joie à moi. Tout chaud, tout petit, sous mon parapluie. Au centre de mon âme brille une flamme.

Quelle séduisante tentation pour orages en quête d’extinction! Je connais ces nuages. Certains s’élèvent de proches angoisses. D’autres viennent de lointaines paroisses. Et déchargent leurs gouttes d’amertume sur mes peines posthumes.

Leur froideur solitaire recherche désespérément une chaleureuse partenaire. Désolée, seuls pleureurs! Sous mon parapluie, il fait soleil à toute heure.

Eh oui! Le jour et la nuit y sont amis. Le temps s’y conjugue au présent. La fantaisie est ma monnaie d’échange. Je m’y sens libre de parler aux anges. D’échafauder des rêves fabuleux. De rédiger des scénarios merveilleux.

Sous mon parapluie, tous les possibles sont permis. Je me permets de croire qu’il n’y a plus de limites. Je me donne la permission d’envoyer le moindre tracas en orbite. Que de moments délicieux dans ce havre béni des dieux!

Je m’y amuse à remasteriser mon existence. À mettre à jour mes dernières prises de conscience. Et à savourer le luxe grandiose de cette langoureuse pause. Ailleurs, le tourbillon des obligations chambarde le quotidien de mon prochain.

Sous mon parapluie, plus rien ne tient.

Ni même les défis que je m’impose. Ni même les attentes que je nourris. Ni même les résultats que je souhaite. Plus rien que le constat de n’être là que pour moi.

Mes peurs s’évaporent comme flocons joyeux au soleil radieux. Mes regrets perdent la mémoire. Mes angoisses changent de vocation. Mes idées noires vivent une mutation. Mon univers tout entier ressemble à une île enchantée.

Sous mon parapluie, la lumière inonde de chaleur chaque contour de mon cœur.

N’est-ce pas privilège unique de pouvoir ouvrir tout grand cet outil magique? Vous en avez un, vous aussi. C’est votre meilleur ami. Celui qui reconnaît votre beauté. Celui qui vous apprécie dans votre totalité. Il est à votre portée. »

  

Ce texte, m’a rappelé un petit poème que je me plaisais à dire quand j’étais triste, j’avais 3 ou 4 ans à l’époque; je vous le dis avec l’intonation , car à l’époque, les « R » et les « L », étaient difficiles à dire pour moi!!:

« … Le ciel est noi(r), il va p(l)euvoir, mais moi, je n’ai pas peu(r) de la p(l)uie, puisque j’ai mon pat(r)ap(l)uie! »

 

 Moi aussi, j’avais accès à cet espace intérieur, protégée par ce parapluie et complètement sécurisée.

Ce petit poème, qui faisait rire à l’époque prend tout son sens aujourd’hui!

Vous pouvez retrouver ses billets à cette adresse:

www.DominiqueAllaire.com

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Ah! les interdits!…

 

Ce matin j’ai reçu l’article suivant de Marie Pier Charron de « Matins Magiques », et je l’ai trouvé très bien écrit, aussi je me propose de le partager avec vous ici: mais: ATTENTION NE LISEZ PAS CECI!

  

  Ne lisez pas ceci

 Si j’avais choisi d’intituler cet article «Lisez un autre courriel» – ce qui reviendrait exactement au même – »Difficile d’ignorer mon message lorsque je vous demande expressément de ne pas le lire, n’est-ce pas? Rien ne nous donne plus envie de faire une chose qu’une interdiction…
 peut-être aurais-je suscité votre intérêt… mais jamais autant que je l’ai fait avec «Ne lisez pas ceci». Car en vous demandant de ne pas me lire – oui, en vous donnant l’instruction de ne pas faire une chose précise –, j’ai touché une corde sensible. Vous saviez certainement qu’il s’agissait d’une tactique pour attirer votre attention, mais elle était néanmoins irrésistible. Je tentais de limiter vos options en vous disant quoi ne pas faire, donc vous avez naturellement commencé à faire le contraire.

Se coincer pour avancer?
Créer une pléthore d’interdits est une stratégie que nous sommes nombreux à utiliser pour tenter de rester aligné avec nos buts. La logique sous-jacente est la suivante: «Si je me refuse toutes les actions et options inadéquates, je n’aurai pas le choix d’aller dans la bonne direction.» Donc si on souhaite perdre du poids, par exemple, on s’interdira peut-être de manger du dessert, de grignoter des chips, et une foule d’autres choses, en croyant que ces règles nous forceront à rester sur le droit chemin. On pense que si on se refuse tout sauf ce qui nous fera avancer, on obtiendra nécessairement les résultats désirés. On n’aura pas le choix, on sera coincé.

Si cette approche est tout à fait brillante d’un point de vue «mathématique», elle est complètement démente d’un point de vue psychologique. Elle est à la motivation ce que les pétards sont aux feux d’artifice… Car si on se confine dans une prison d’interdits, la première chose que l’on voudra faire est de s’évader – même si les interdictions sont infiniment nobles et justifiées. Ériger de grands murs chaque côté du «droit chemin» n’est pas une stratégie efficace pour y rester… Les grands murs empêchent la lumière d’entrer, et il s’avère que l’on a besoin de lumière encore davantage que de la jolie destination vers laquelle on est en train de marcher.

On souhaite tous concrétiser nos belles visions, bien sûr. Or, il y a une chose que l’on désire et désirera toujours encore plus viscéralement: notre liberté. La liberté est l’essence de ce qu’on est… Instinctivement, jamais on n’acceptera de la sacrifier. On adoptera tous les comportements interdits pour la retrouver, souvent contre notre propre volonté. Si on suit un régime strict, on mangera des desserts qui ne nous font même pas saliver simplement pour déclarer qu’on a le droit de les manger. Si on ne se permet pas de prendre du temps pour nous (ou si on ne se permet pas vraiment de le savourer), on rêvera de passer des journées entières devant la télé. En fin de compte, on fera en sorte de vouloir le contraire de ce que l’on veut pour briser le cadre rigide que l’on s’est imposé. On aime nos o bjectifs, bien sûr, mais on refuse viscéralement de sacrifier notre fraîcheur et notre paix intérieure pour y arriver.

Se faire confiance…
Que reste-il donc, lorsqu’on se libère de notre prison de «non»? Nous sommes nombreux à craindre de nous transformer en mollusque si on cesse de s’auto-commander comme des généraux d’armée. Or, personnellement, je dois dire que je n’ai rien contre l’idée… Les mollusques vivent parfaitement leur vie de mollusque, après tout; ils adoptent sans hésitation tous les comportements appropriés. Pourquoi en serait-il différent pour nous? Tout comme le tournesol se tourne vers le soleil, tout comme la graine se met à germer, on a naturellement tendance à aller vers ce qui est bon pour nous et à nous développer. Notre corps nous fait signe lorsqu’il est rassasié… On a tout plein d’idées et d’élans d’inspiration après s’être bien reposé… On a spontanément envie de risquer;aller vers ce qui nous fait vibrer. Nos pulsions autodestructrices (qui sont en fait des tentatives de libération déguisées) ne se manifestent que lorsqu’on essaie de se coincer.

Il est difficile d’y croire, à l’ombre des grands murs que l’on a érigés, mais on adopte naturellement des comportements sains et constructifs lorsqu’on commence simplement à aller vers la lumière et à se respecter. Oui, on n’a pas besoin de se coincer lorsqu’on apprend à se faire confiance et à s’écouter. Non seulement on peut avancer dans l’allégresse et la joie de vivre, mais c’est primordial d’en faire notre priorité. Car au bout du compte, on ne restera jamais sur le «droit chemin» parce qu’on est obligé de continuer… On y restera parce qu’on est trop bien pour s’arrêter.

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Osez suivtre votre chemin

Je partage avec vous cette vidéo que j’ai reçue ce matin.

je pense que chacun d’entre nous peut se retrouver à travers ces images.

Alors croyez en vous, devenez ce magnifique papillon qui sort de sa chrysalide et suivez votre route, osez être qui vous êtes, ne vous arrêtez pas à ce que disent ou pensent les gens de vous…

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Chaque jour est précieux

«Les Navajos enseignent à leurs enfants que, chaque matin, quand le jour se lève, il y a un nouveau soleil flamboyant et neuf. Il naît chaque matin, il vit une journée et disparaît chaque soir pour ne plus revenir. Dès que les enfants sont en âge de comprendre, les adultes les emmènent à l’aube et disent: « Le soleil ne possède qu’une journée, tu dois bien vivre cette journée pour qu’il n’ait pas gaspillé son temps précieux. » Reconnaître que chaque jour est précieux est une bonne manière de vivre, d’entrer en contact avec notre joie fondamentale.»
– Pema Chödrön

Ce matin j’ai reçu cette pensée magique du site Matin magique.
Je trouve qu’elle est intéressante à méditer et qu’elle fait lien avec les précédents articles

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Miss huile essentielle de Petit grain mandarinier…

,L’huile essentielle de Petit grain mandarine, que pourrait-on dire d’elle?

A l’image d’un grand-père qui vous ferait un gros câlin mais qui très vite vous donnerait une petite tappe sur l’épaule et vous dirait: « bon c’est pas tout!, moi j’ai encore du travail à faire, il faut que j’y aille »!!

Le Petit grain Mandarine est espiègle, souriant, ensoleillé, il vous rassure, vous stimule et vous apaise en même temps; il vous fait respirer et digérer… Le Petit grain, c’est la feulle du Mandarinier.


Election Miss huile essentielle par catherinebehar

Miss huile essentielle d’Hélichryse italienne

Elle pousse dans le pourtour méditérranéen, on en trouve en Corse, elle pousse dans des endroits secs et rocailleux, elle aime le soleil.
Elle soigne les coups aux corps comme à l’âme.
Elle agit sur la micro-circulation.
C’est une huile de deuil, d’accompagnement dans tous les coups durs de la vie; c’est une huile de passage: avec elle on ne triche pas!


Miss huile essentielle d'Hélichryse italienne… par catherinebehar

Miss huile essentielle de Lavande
C’est du soleil, des grillons, la Provence, c’est un personnage qui est protecteur, qui fédère, on pourrait dire qu’elle prend soin comme une mère le ferait: si il n’y en avait qu’une à prendre sur une huile déserte, ce serait elle!


Miss huile essentielle de Lavande par catherinebehar

Et enfin Miss huile essentielle de Cannelle: chaude et sensuelle: attention à elle, elle vous attire mais vous pouvez vous brûler avec elle (elle est dermocaustique!)
Elle redonne de l’audace!


Miss huile essentielle de Cannelle par catherinebehar

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