Pour lire la vidéo, cliquez sur le lien suivant:
http://www.youtube.com/embed/An18wQ3asMw


Cette petite vidéo pour vous présenter mon ami et fournisseur principal en huiles essentielles et eaux florales, oh combien merveilleuses!
Lorsque j’ai rencontré pour la première fois Jean-Charles, c’était sur le Salon Marjolaine en 2007, pour une signature que je faisais sur le stand du Souffle d’Or.
Je venais de traverser une période difficile et une amie m’a dit: « viens je vais te présenter un Magicien! ».
Il était débordé, mais il a pris le temps et sur un simple échange visuel, il m’a tendu une petite bouteille d’huile essentielle, et m’a dit: « respire profondément »…Ce qui est arrivé à moi, a été une bouffée de parfum d’orangers, ceux que je respirais, enfant, lorsque j’étais à Menton. Un grand sourire a éclairé mon visage, une bouffée câline a parcouru tout mon corps. Et nous avons pris rendez-vous, pour faire plus ample connaissance…
Voilà qu’elle fut ma toute première rencontre avec ce poète des huiles essentielles. Lorsqu’il vous en parle, vous êtes accroché à ces paroles, aux mots qu’il utilise, vous ressentez plein d’amour de sa part pour celles-ci.
Oui, c’est un magicien, il vous insuffle son élan, partage sa connaissance.
Cliquez sur le lien suivant pour voir la vidéo
http://www.youtube.com/embed/m5regdw5xs8
Je viens de voir un reportage sur cette femme, Kilina Cremona ancienne danseuse, qui a eu cette idée merveilleuse de plancher vibrant pour permettre aux malentendantsi de pouvoir danser et sentir le rythme de la musique.
Je vous laisse voir cette vidéo et voir ainsi que tout devient possible!
Cliquez sur le lien suivant:
http://www.dailymotion.com/video/xcm2o4_plancher-de-danse-vibrant-magazine_creation
Je partage avec vous cette info lettre de mon ami J.PH. Brébion.
infolettre : avril 2013
Loi du Principe :
Faim dans le monde ? Malbouffe?
Jean-Philippe Brébion
Notre responsabilité …
On a longtemps eu tendance à penser que la « faim dans le monde » concernait essentiellement des pays très éloignés, appartenant au « tiers monde » – ou encore pays en voie de développement – dont les habitants devaient faire face à de nombreuses catastrophes naturelles liées à des conditions climatiques sévères.
Nous savons aujourd’hui – et les voyages, que mes activités professionnelles m’amènent à faire constamment, me le confirment – que de plus en plus de gens, dans tous les pays, souffrent de la faim, et ce, malgré ce qu’on aurait pu espérer des « progrès techniques » de nos sociétés modernes.
D’autre part, on voit se multiplier partout le nombre de restaurants de type fast-food tandis que l’on trouve, , dans notre alimentation quotidienne, des doses de plus en plus massives de substances chimiques, aussi artificielles qu’indigestes, pouvant avoir sur notre santé des répercussions non négligeables, dont la forme la plus visible est l’obésité. Or, dans nos sociétés dites développées, le nombre de personnes obèses augmente à une vitesse vertigineuse !
En résumé, soit l’humanité ne se nourrit pas, soit, elle se nourrit mal et de façon très artificielle.
Tentons maintenant de voir quel sens cela peut avoir – selon la loi du Principe -, de quelle manière chacun de nous est responsable de ce double phénomène et en quoi cela peut être au service de notre évolution.
En effet, une des lois de la Bioanalogie est que tout ce qui nous touche – de quelque façon que ce soit – parle de ce que nous sommes, a un sens et est au service de notre conscience : tout ce qui nous touche nous parle de ce que nous n’avons pas encore réalisé dans notre créativité.
Voilà pourquoi le seul véritable enseignement que nous puissions recevoir est celui apporté par les évènements qui construisent notre vie : c’est notre propre vérité issue de notre expérimentation.
Une autre loi est qu’on ne guérit que dans le réel, c’est-à-dire sans vouloir une autre histoire – passée ou présente – que celle que l’on a.
Alors, que peuvent signifier ces deux constats de malnutrition à travers la Loi du Principe, développée par la Bioanalogie ?
Dans nos civilisations modernes, nous avons l’habitude de considérer que les évènements qui nous touchent sont soit positifs, soit négatifs et nous vivons le plus souvent dans l’idée que la cause de notre bonheur ou de notre malheur est à l’extérieur de nous. Donc, nous souhaitons attirer à nous ce qui nous semble pouvoir être source de « bonheur » et, au contraire, nous tentons de rejeter ce qui pourrait être celle de notre « malheur. »
Socialement parlant, des codes moraux se sont élaborés peu à peu, définissant ce qui est bien et ce qui est mal. Balisant l’existence, ils déterminent pour chacun, un bon ou un mauvais chemin.
Tout ceci entretient l’idée que ce sont les évènements eux-mêmes – les choses extérieures- qui ont de la valeur et que nous avons à réagir à ce qui nous arrive en fonction de cette valeur.
D’autre part, une utilisation de la technologie et des moyens de communication débridée conduit de plus en plus gens à vivre dans un monde virtuel, loin de toute réalité humaine. Nombre d’adolescents, d’adultes et de plus en plus de jeunes enfants deviennent ainsi « addict » aux consoles de jeux , smartphones et autres écrans de TV ou d’ordinateurs.
De plus, phénomène remarquable, la « télé-réalité » qui a envahi nos écrans depuis quelques années, capte un nombre impressionnant de spectateurs qui vivent ainsi, par procuration, la vie de leurs héros. Ces émissions sont, bien sûr, un leurre complet mais elles entretiennent l’idée qu’il faut avoir une image pour être quelqu’un.
Enfin, Les réseaux sociaux en tous genres, contribuant à développer cette croyance, participent également à cette illusion de vie, loin de toute réalité.
Soyons clairs, vouloir vivre dans un monde idéal – hors toute réalité – et attribuer une valeur positive ou négative aux évènements de notre vie est un comportement biologiquement légitime : il nous permet de survivre.
Mais, en aucun cas, il ne nous permet de nous réaliser, c’est-à- dire de vivre pleinement la vie pour laquelle nous sommes faits.
Que pouvons-nous faire pour changer cela ?
Deux points essentiels sont à intégrer :
1° Vivre, c’est rencontrer les évènements qui nous touchent, sans les juger, et en extraire le Principe afin de réaliser notre créativité. En d’autres termes, le rôle de l’Homme est de se nourrir des évènements de sa vie pour évoluer en conscience.
2° Cessons de vouloir une autre réalité que celle que nous vivons en nous appuyant sur la certitude que l’idéal, c’est le réel !
Ainsi, en assumant la responsabilité de notre vie, en cessant de vouloir une autre réalité que celle que nous vivons et en nous nous nourrissant consciemment des évènements que nous rencontrons, nous entrons dans notre créativité.
Dès lors, il ne sera plus nécessaire qu’une partie de l’humanité vive – dans sa biologie – dans un monde virtuel, hors toute réalité, en se nourrissant de produits dénaturés.
J’ai conscience que de tels propos peuvent étonner, désorienter et/ou provoquer des réactions de scepticisme amusé voire agacé.
Peu importe…
Comme je le recommande dans chacun de mes séminaires, lors des conférences que je donne ou au début de chacun de mes livres :
« Surtout, ne me croyez pas ! Expérimentez ! »
Le seul risque encouru est une vie, à la fois plus légère, plus fluide et, de plus en plus souvent, empreinte de plénitude intérieure.
En un mot, une vie plus consciente…
Ce risque, je le prends !
Et vous ?
NB : Le terme biologie est employé ici dans le sens de manifestation matérielle de quelque chose que nous ne savons pas mettre en conscience.
Vous pouvez partager cet article en le diffusant parmi vos connaissances. Merci d’en conserver l’intégralité et la source.
Jacques Salomé nous propose 5 positions pour communiquer:*
* Article publié sur mon ancien blog.
1 – La dynamique de l’éponge :
Extrêmement fréquente, on la rencontre dans beaucoup de relations. Celui qui la pratique absorbe tout : malheurs, catastrophes, épidémies, souffrances individuelles et collectives mais il engrange aussi les bonheurs petits et grands, et dans la plus grande des confusions, il mélange le tout ! Tout ce qui arrive de par le monde, proche ou lointain… c’est pour lui, il est partie prenante, se sent concerné, a un point de vue sur tout ! Mais comme l’eau potable quand elle est mélangée avec l’eau de vidange… rien n’est buvable à la sortie du tuyau ! Pour celui qui pratique la dynamique de l’éponge, quoiqu’il vive, le monde est toujours problématique, souvent grisâtre ou à irrémédiablement mauvais goût !
…
2 – La dynamique du filtre :
Soyez prudent avec celui qui la pratique. Car celui ci, retient surtout le mauvais d’un échange, voit toujours ce qui ne va pas, ce qui ne s’est pas passé, et laisse passer le bon… sans pouvoir le garder.
Vivre avec un “filtre” est très décourageant et même épuisant. Cela vous donne le sentiment d’être vraiment nul dans tous les domaines. Quoique vous proposiez, offriez ou partagez… l’autre n’en retient que le négatif. Fuyez avant que le désespoir ne vous dévitalise !
3 – La dynamique de l’entonnoir :
Simple comme un entonnoir, celui là sans état d’âme, ne garde rien. Il se laisse traverser par les événements de la vie sans rien en retenir d’essentiel. Il laisse tout passer le bon et le pas bon. Il parcourt la vie avec un sentiment de manque permanent ou alors totalement anesthésié. Il prétend n’avoir rien reçu, rien donné, tout gaspillé. Ce n’est pas vous bien sûr… c’est l’autre.
4 – La dynamique de la passoire :
Celui qui en est l’adepte sait garder le bon et sait surtout laisser passer le mauvais sans le retenir. Il trouve son compte à capter les rires, les douceurs, le positif, les possibles de l’existence. Il ne s’encombre pas de déchets, laisse la pollution à l’extérieur de lui ou de la relation. Il sait trier, dédramatiser et accepter beaucoup de la vie. C’est bon de vivre avec une passoire, il ne garde que le meilleur de la vie et il est même capable de vous y faire goûter.
5 – La dynamique de l’alambic :
Celui là est le plus rare, le plus attachant peut être. Même s’il paraît fragile, à cause de son extrême sensibilité, il sait recueillir, transformer en bon et en merveilleux tout ce qu’il vit. Dans toute rencontre ou expérience de vie, il en retire l’essentiel, il en restitue le meilleur. Les alambics sont précieux, si vous en rencontrez un, gardez le… au plus prés de vous.
Un grand pas en avant et des maux de tête à venir !!( ça c’était avec la nouvelle version de mon ancien blog sur Overblog)
Comme vous pouvez le constater, j’ai décidé de changer d’hébergement.
Un grand pas en avant cette fois-ci et la liberté de gérer mon espace comme bon me semble!
Soyez donc magnanimes et faites moi part de vos remarques constructives.
Je viens de visionner cette vidéo et j’ai très envie de la partager avec vous.
« Naître enchanté » est une des plus belles et impressionnantes naissances, à laquelle j’ai eu l’occasion d’assister.
Cette méthode est magnifique à qui sait l’accompagner et la vivre.
Je suis convaincue que la vibration du son est guérisseuse.
Je l’ai moi-même expérimenté en d’autres occasions douloureuses.
Cette femme retrouve toute son « animalité », au sens propre comme au sens poétique.
J’ai trouvé cette vidéo d’une grande force et douceur à la fois.
Cet enfant qui arrive de ce corps qui s’est fait vague pour l’accompagner, doux bercement et mouvement naturel, tel un massage bienveillant, est accueilli dans le calme, la chaleur, la douceur et l’amour.
Merci à mes amies sur facebook d’avoir partagé cette vidéo.
Pour voir cette vidéo : cliquez sur le lien suivant:
http://www.youtube.com/embed/pnGynkuVT6I
Ce matin, sur ma page Facebook, j’ai trouvé ceci , posté par « Au coeur de l’Être ». Et j’ai très envie de le partager avec vous.
Un joli sujet de méditation pour la journée.
« Le regard que vous posez sur vous détermine vos comportements, et donc le type d’expériences que vous vivez.
De la même façon, le regard que vous posez sur les choses, sur les événements et sur les gens détermine leur signification pour vous, et donc la réalité.
Nous ne cessons d’interpréter le monde en fonction de nos expériences antérieures, de nos attentes, de nos envies et de nos émotions. Le monde que nous percevons n’est pas la réalité du monde; existe-t-elle d’ailleurs en dehors de nous ?
Le monde que nous percevons est le reflet de nos projections. »
-I. Filliozat.
Sur ma page Facebook, j’ai trouvé ceci , posté par « Au coeur de l’Être ». Et j’ai très envie de le partager avec vous.
Un joli sujet de méditation pour la journée.
« Le regard que vous posez sur vous détermine vos comportements, et donc le type d’expériences que vous vivez.
De la même façon, le regard que vous posez sur les choses, sur les événements et sur les gens détermine leur signification pour vous, et donc la réalité.
Nous ne cessons d’interpréter le monde en fonction de nos expériences antérieures, de nos attentes, de nos envies et de nos émotions. Le monde que nous percevons n’est pas la réalité du monde; existe-t-elle d’ailleurs en dehors de nous ?
Le monde que nous percevons est le reflet de nos projections. »
-I. Filliozat.