

Aujourd’hui, un bon gros rhume des familles,(!) a l’air de vouloir s’installer dans mon petit corps.
Comme je n’ai pas de rendez-vous aujourd’hui (ça tombe bien!), je décide de l’accueillir et d’en prendre soin…
Mon corps m’envoie plein de signaux, et je pense qu’il est temps pour moi de les écouter, avant qu’il ne se déchaîne vraiment!
Si vous êtes observateur comme moi à cet instant précis, en me relisant, je vois 2 mots fort intéressants!!… Je suis sûre que vous les avez trouvés.
Sinon, pas grave, l’essentiel, est que moi j’en ai pris conscience; je vais aller voir ces chaînes qui traînent encore…
Mais revenons en au sujet du jour.
Est-ce mon besoin de méditer, toujours est-il que je viens de recevoir cette belle vidéo et ces beaux préceptes du Dhalaï Lama.
Je nous, et je répète, je nous propose de faire une belle méditation autour de chacun de ces préceptes et de regarder en quoi cela nous parle de nous.
Très belle journée médative à vous tous.
Une amie vient de m’envoyer cette vidéo, et comme cela fait écho chez moi, me donne envie de me mettre en mouvement et rejoint tellement ce sur quoi je travaille actuellement que je m’empresse de le partager avec vous.
Le mot « SENTIR » se décline sous toutes ses formes sensorielles, à travers ce joli langage du corps et de l’âme qui parlent…
Je lis en ce moment un livre que je vous recommande:
« Le cerveau de Bouddha » de Rick Hanson avec le docteur Richard Mendius.
Ed. Les arènes.
Je vous livre ici un extrait à propos du mécanisme de la souffrance:
« … Au cours de notre évolution, trois stratégies fondamentales nous ont aidés à transmettre nos gènes: créer des séparations, stabiliser les systèmes et saisir des opportunités tout en évitant les dangers.
Bien que ces stratégies soient très efficaces pour la survie, elles nous font également souffrir.
L’effort destiné à maintenir les séparations se heurte à nos innombrables connexions avec le monde dont nous sommes dépendants. Par conséquent, nous pouvons nous sentir un peu isolés, exclus, submergés ou aux prises avec le monde.
Vous comprendrez donc, que comme le dit un proverbe: la douleur est inévitable, mais la souffrance, facultative.
Entrainez vous à être présent à tout ce qui survient dans la conscience , vous briserez sur le champ l’enchainement de la souffrance.
Bonne méditation sur le sujet.
lorsque les systèmes de notre corps, de notre esprit et de nos relations deviennent instables, notre cerveau produit des signaux d’alerte dérangeants. Comme tout change en permanence, ces signaux ne cessent de nous parvenir.
Notre cerveau déforme nos expérience en leur appliquant une tonalité affective – agréable, désagréable ou neutre – de sorte que nous recherchions ce qui est agréable, évitons ce qui est désagréable et ignorions ce qui est neutre.
Au cours de notre évolution, nous avons été amenés à nous focaliser en particulier sur les expériences désagréables. Ce pendant négatif néglige les bonnes nouvelles, souligne les mauvaises et génère de l’anxiété et du pessimisme.
Le cerveau a la merveilleuse capacité de stimuler des expériences, mais cela a un prix: le stimulateur nous extrait de l’instant présent et nous incite à poursuivre des plaisirs qui n’ont rien d’extraordinaire et à résister à des douleursnexagérées ou irréelles.
l’autocompassion contribue à réduire la souffrance…
Bien entendu, notre expérience de ces processus physiologiques est très intime. Lorsqu’il m’arrive d’être contrarié, je ne pense évidemment pas à tous ces détails biochimiques. Mais en gardant une idée générale de ces mécanismes à l’esprit, je suis plus facilement conscient du caractère purement physiologique des cascades de secondes flèches*, de leur nature impersonnelle, de leur dépendance vis-à-vis de causes préexistantes et de leur impermanence.
cette prise de conscience est source d’espoir et de motivation. la souffrance a des origines clairement identifiées dans le cerveau et dans le corps. En les changeant, vous souffrirez beaucoup moins. Et vous pouvez les changer. A partir de maintenant…
* …Un certain inconfort physique et mental est inévitable. Ce sont les « premières flèches » de la vie.
Lorsque nous réagissons à une première flèche par un, voire, plusieurs des trois poisons que sont: l’avidité, la haine et l’illusion (au sens large) – chacun caractérisé par le désir irrépressible – nous décochons une seconde flèche aux autres ou à nous-mêmes. En fait, souvent, il n’y a même pas de première flèche en vue, mais des situations positives – tel un compliment.
La souffrance est profondément incarnée. Des réactions physiologiques impliquant votre système nerveux sympathique(SNS) et l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ( AHHS)provoquent un enchainement de souffrances dans votre corps.
la plupart des gens connaissent des cascades chroniques de secondes flèches, qui s’accompagnent de nombreux effets négatifs sur leur santé physique et mentale.
le système nerveux parasympathique « repos et digestion » (SNP) apaise l’activation du SNS/AHHS.
ëtre présent à tout ce qui survient, oeuvrer à transformer les tendances de l’esprit et se réfugier dans le fondement de l’être sont les pratiques essentielles du chemin de l’éveil… »
Mes chers amis, c’est de mon Lubéron chéri, que je vous envoie toutes mes plus douces pensées (ensoleillées, comme vous pouvez le voir sur la photo!) pour aller doucement vous glisser dans les bras de 2013.
Je vous souhaite une année douce, enrichissante en expériences qui continueront de vous faire »grandir ».
J’espère vous retrouver encore plus nombreux sur mes blogs, mais aussi dans les ateliers que je vous propose.
2012 a été une année de bien belles surprises, d’autres plus tristes, mais ainsi va la vie!
Je garde tous ces moments dans ma mémoire car ils me font avancer à grand pas vers mon essentiel.
Que 2013 soit une très belle année, n’oubliez pas que nous participons grandement à ce souhait.
Très belle soirée à vous dans ce passage.
J’ai reçu d’une amie ce texte, je l’en remercie, et je tiens à vous le partager. Il me semble plein de bon sens.
Rien ne sert de flipper, il faut juste prendre conscience que nous sommes acteurs de notre devenir.
Ce texte vous pourrait vous apporter un éclairage plus pertinent et positif
sur des événements annoncés pour le 21 décembre 2012 du calendrier Mayas.
Ce que les Anciens Mayas disent à propos de 2012
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sur des événements annoncés pour le 21 décembre 2012 du calendrier Mayas.
Ce que les Anciens Mayas disent à propos de 2012
Par Carlos Barrios
Hier, je vous ai posé la question suivante: « Et vous , décidez-vous d’être l’auteur de votre vie? »
Voici, une réponse que j’ai reçue aujourd’hui même de l’une d’entre vous, qui a eu envie de témoigner.
je l’en remercie infiniment. Et je vous invite à venir, vous aussi, témoigner.
… »Deux heures après le passage devant le jury, je commence comme intérimaire dans l’entreprise dans laquelle j’avais fait mon stage. J’ai réussi mon examen, deuxième au classement. Je loupe le repas organisé pour la fin de formation mais tant pis, je suis la première à avoir trouvé du travail. J’obtiens un CDI au bout de deux mois. Je découvre un nouveau monde. Je m’y investi à fond, par nature et pour mes 3 garçons qui ont besoin de moi.
C’est un creuset pour les études sur la psychologie humaine et je découvre tous les jours des « profils » que je ne soupçonnais pas.
Tout va très bien. J’arrive à tout assurer car ma récente réussite et ma non moins récente autonomie me donnent des ailes.
Mais un évènement fait tout basculer. Une personne extérieure devient notre hiérarchique. Elle est sidérante d’incompétente. Nous avons des mots, je ne peux rien cacher, on lit sur mon visage. Mon état psychologique s’aggrave pendant cette période, mais je tiens bon pendant quatre ans…
Ma RH me dit que je n’ai plus rien à accomplir de mieux, que je vais intégrer un nouveau service, que mon parcours est exemplaire… Je prends note, ça fait toujours plaisir à entendre.
Un mois plus tard, on m’apprend que le service dans lequel je travaille va se doter d’un nouveau manager. Le cauchemar. La revoilà. C’en est trop.
L’idée même de devoir travailler de nouveau avec elle, son incompétence ainsi que son humeur cyclique m’est insupportable. C’est une grande stressée.
Par contre mes anciens collègues sont bien aise de la voir partir et me disent que je n’ai pas de chance !
Je réussis à tenir trois ans. Cela me demande beaucoup d’efforts. Comment peut-elle penser une seconde que nous faisons une bonne équipe ? Ce que je suis, ne supporte pas, ne supporte plus.
C’est mon « épaule symbolique » qui fournit le travail et qui soutient son équipe qui lâche. Elle est raide. Les douleurs me réveillent la nuit. Je souffre.
Je suis une personne qui ne prend jamais de médicaments, qui a une vie plutôt équilibrée, qui n’a jamais eu d’arrêt de travail et je suis entourée de personnes qui m’aiment. Alors ?
Mon épaule me dit que je suis en souffrance au travail, mais que faire ?
Je commence par le début : arrêt maladie, soins, imageries médicales, rééducation. Je suis effrayée par les résultats de mes analyses médicales, ma généraliste aussi.
J’en suis à quatre mois d’arrêt et je me rends compte que je récupère très doucement. Plus grave, l’idée de reprendre dans quelques mois me rend dépressive.
Je suis dans une impasse. Je ne veux pas être dépressive, j’aime trop les gens qui m’entourent pour leur faire subir ça. Alors ?
1- Je me suis inscrite à des conférences, à des ateliers, pour apprendre des clefs pour ne plus souffrir au travail.
2- je reste en relation avec mes amis et mes collègues.
3- Ayant moins mal après l’infiltration, je peux recommencer à faire des travaux manuels.
4- S’il ne fait pas trop mauvais temps je fais une demie – heure de marche à pied. J’ai aussi changé mon régime alimentaire.
5- J’ai rendez-vous avec une personne du service sociale de l’assurance maladie pour parler de ma reprise, ça tombe bien.
6- Je prends conscience que j’ai tous les éléments pour résoudre mon problème à portée de main.
7- J’écris des textes, des histoires sur tous les sujets.
8- j’ai coupé les ponts avec les énergétivores, et ceux à la pensée unique. Il vaut mieux un silence bienfaiteur que des parasites (personnes de la famille)
9- je ne m’endors jamais sans mon huile essentielle de lavande.
10- je me suis inscrite à des cours de couture.
Je sens que le début de l’année annonce un changement. Je vais rencontrer des gens qui peuvent m’aider. Dois-je changer de métier ? Le contexte est difficile et je ne suis plus toute jeune.
Il ne faut plus que je fasse pour faire, il faut que je donne sens à ma vie. Il faut aussi que j’apprenne à gérer mon émotivité.
Je vais me détendre et lâcher prise.
Je m’y autorise. »