Archives de l’auteur : Catherine

À propos Catherine

Un site pour aller à l'essentiel, être au coeur de soi, où je partage avec vous différentes méthodes pour se sentir bien, en accord avec soi-même.

Exercice pour tous

 

Je vous propose de prendre un moment pour vous et de faire cet exercice.

 

Imaginez que vous avez envie d’aider un ami très cher.

 

Vous désirez très sincèremnt l’aider dans sa démarche, vous avez très envie d’en prendre soin. Il n’est pas toujours à l’écoute mais vous ne voulez pas le blesser et vous mettez les formes pour vou faire entendre.

 

Prenez conscience de la façon dont vous vous y prenez …

 

Puis, mettez-vous à sa place, de son point de vue …

 

Ecoutez comment vous percevez alors l’aide qui vous est proposée…

 

Que se passe-t-il? Que ressentez-vous?

 

Appréciez-vous? Cela vous aide-t-il?

 

ET SI CET AMI C’ETAIT VOUS?

 

Faites exactement pour vous ce que vous êtes capable de faire pour votre ami.

 

 

 

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Le fardeau du Passé

 QUI TIENT LES RENNES?

Je vous propose un sujet de réflexion quant aux émotions du passé.

Le passé vit en nous par le biais de nos souvenirs. Quand les pensées au sujet du passé prennent totalement possession de nous, il se transforme en fardeau, en problèmes, et nous avons tendance à nous y identifier.

Voici une petite histoire qui en dit long…

Il était une fois deux moines zen, Tanzan et Ekido, qui marchaient sur une route de campagne devenue extrêmement boueuse après des pluies torrentielles. Près d’un village, ils croisèrent une jeune femme qui tentait de traverser la route. La boue était si profonde qu’elle aurait abîmé le kimono de soie qu’elle portait. Tanzan la prit sur ses épaules d’un coup et la transporta de l’autre côté de la route.

Puis les moines reprirent leur route en silence. Cinq heures plus tard, alors qu’ils approchaient du temple où ils allaient loger, Ekido ne put se contenir plus longtemps.  » Pourquoi as-tu porté cette femme? » demanda-t-il. « Nous sommes des moines. Nous ne sommes pas censés faire des choses pareilles.’

« Je me suis délesté de la femme en question il y a des heures, lui répondit Tanzan, mais toi tu la portes encore, il me semble ».

Que pouvons-nous faire pour changer?

Nous pouvons apprendre à changer nos habitudes de penser, et au lieu de repenser à ce passé, à ces faits qui se sont passés il y a plus ou moins longtemps, nous avons à être vigilants et  ramener notre esprit dans le présent. Et là, c’est notre Présence même qui devient notre identité au lieu que ce soit les pensées et les émotions.

Rien de ce qui a pu se passer autrefois ne peut nous empêcher d’être présent maintenant. Et si le passé ne peut nous empêcher d’être présent, quel pouvoir a-t-il donc?

 

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Qu’est-ce qu’être parfait?

 

Qu’est-ce qu’être parfait ?

Pour toutes celles et tous ceux qui ne se pensent pas parfaits, voici un outil de réflexion pour vous montrer le contraire et reprendre confiance en vos capacités.

Imaginez un petit embryon, dans le ventre de sa maman et qui ressent des émotions, disons plutôt négatives venant d’elle, et qui s’en empreigne, vous pouvez imaginer facilement qu’à cet instant là, ce petit embryon n’a pas les moyens de dire ce qu’il ressent et n’a pas la moindre idée qu’un jour, il aura la parole, les mots pour le faire ; à ce moment précis, il est inconsciemment incapable de dire ce qu’il ressent.Il n’en a pas la moindre idée. 

Et puis ce petit embryon va grandir, va naître, va commencer à « babiller », mais sans pourtant pouvoir vraiment se faire comprendre et dire ce qu’il ressent, mais se rend compte du pouvoir qu’il a sur les adultes, il devient consciemment incompétent de pouvoir se faire vraiment comprendre, d’où parfois les colères !

 Et, il continue à grandir, va à l’école et commence à apprendre à lire, à parler, à communiquer : il devient consciemment compétent,c’est-à-dire qu’il peut dire, ce qu’il ressent (enfin normalement, et parfois il arrive qu’il ne se sente pas entendu ! mais ça c’est un autre sujet à traiter…) Il prend donc conscience qu’il a le pouvoir de « faire », de « dire »…

 Enfin, plus tard, la parole pour lui est « monnaie courante », il a oublié qu’il n’avait pas su parler, c’est un automatisme. A ce moment là, il est : inconsciemment compétent.

 Vous pouvez voir ainsi, qu’à chaque étape de sa vie, cette personne a toujours été « Parfaite » dans ses capacités, elle ne pouvait, à ces différents moments, absolument pas être différente, car elle n’avait pas la connaissance suffisante acquise pour s’exprimer.

Comprenez par là, que quoique vous fassiez dans votre vie, au moment où vous le faites, c’est toujours avec ce que vous avez, là où vous êtes et que tant que vous n’avez pas d’autres informations, d’autres connaissances à ce moment précis, c’est comme sivous n’aviez pas d’autre choix d’agir autrement : donc, OUI, à ce moment là vous êtes parfait ! Alors arrêtez de vouloir à tout prix (au risque de vous perdre), être parfait

A méditer, sans modération  ni contre- indication !

 

 

 

 

 

 

 

 

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Invitation au voyage olfactif

« Le souvenir est le parfum de l’âme » George Sand

Une histoire, des senteurs… Se souvenir…

Il existe autour de nous des parfums qui enivrent notre esprit, égayent nos papilles, soignent nos maux ou embaument notre peau…

Avec la fatigue, le stress, la maladie, l’accident ou l’âge, la mémoire nous fait parfois défaut.

Aujourd’hui, ma pratique et celle de nombreux confrères montrent que de plus en plus de personnes ont besoin d’être reliées à leur corps.

Comme je l’ai déjà expliqué dans mes articles précédants sur l’aromathérapie et l’olfactothérapie (retrouvez ces articles dans la rubrique: Aromathérapie), l’odorat est certainement celui de nos 5 sens qui permet le mieux de nous mettre en lien avec notre partie émotionnelle et inconsciente.

Ainsi, nous avons tous vécu l’émergence de souvenirs enfuis en respirant l’odeur d’une fleur, d’un lieu ou d’un plat…(souvenez vous: « La petite madeleine de Proust »).

De ce point de vue, l’odorat semble être le trajet idéal pour communiquer des informations au rhinencéphale, le « cerveau archaïque »; cette partie du cerveau associée au sens olfactif est en liaison étroite avec la zone limbique, siège de nos réactions les plus subtiles, comme les émotions, la mémoire, la libido et l’intuition.

Les odeurs reconnectent la personne avec son histoire.

Aussi, j’ai eu l’idée de mettre en place un atelier (5 à 10 personnes).

Dans ces ateliers, les personnes vont être amenées à communiquer, à partager, à échanger.

Mon objectif: me servir de l’odeur pour aider les personnes présentant des troubles du langage, de la mémoire et/ou de la reconnaissance, à reconstruire leurs souvenirs enfouis par le traumatisme.

  • Je propose cet atelier dans le cadre de mon cabinet mais aussi dans différentes structures comme par exemple:
  • dans les maisons de retraite
  • Dans les écoles afin d’activer la créativité des enfants
  • dans les centres de loisirs…
  • En fonction des besoins, les ateliers s’activent autour d’un thème choisi afin de pouvoir reconstituer une histoire, de la raconter, de l’illustrer et de communiquer, de découvrir, de partager…

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter

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A propos de gémellité

Je suis tombée sur cet article concernant certaines infos sur les gemellités dans le Monde du 27 mars 2007 et je le recopie ici, afin de vous informer et peut-être pour certains « cartésiens » de les faire réfléchir sur le sujet.(http://www.lemonde.fr/web/article)

 » La découverte  de vrais faux jumeaux ébranle certains acquis en matière de reproduction.

Un dogme de la physiologie de la reproduction humaine vient d’être brisé,  avec la découverte de jumeaux qui ne sont ni tout à fait « vrais » ni tout à fait « faux ». Signés de Mikhail Golubovsky (Duke University, Duham, Caroline du nord), Vivienne Souter ( Banner Good Samaritan Medical Center, Phoenix, Arizona) et David Bonthron (Université de Leeds, Royaume-Uni), les détails de cette découverte sont publiés dans les colonnes de la revue spécialisée Journal of Human Genetics. Ils ont été diffusés, lundi 26 mars, via le site d’informations de la revue Nature.

C’est à la suite de l’identification d’une anomalie sexuelle chez l’un des deux jumeaux que médecins et généticiens ont été conduits à découvrir qu’il existait, contrairement à ce que l’on observe chez les vrais jumeaux, des différences notables dans la constitution des patrimoines génétiques des deux enfants.Pour autant, ces patrimoines présentent des similitudes qui font que l’on ne peut pas non plus les considérer comme de faux jumeaux.

Les vrais jumeaux sont issus d’un ovocyte fécondé par un seul spermatozoïde et qui ensuite s’est naturellement dupliqué, tandis que les faux jumeaux correspondent à deux ovocytes fécondés séparément et simultanément par deux spermatozoïdes. Or les deux enfants qui font l’objet de la publication du Journal of Human Genetics ne correspondent à aucun de ces deux cas de figure.

CHIMERES

Ils sont tous deux dotés des mêmes gènes hérités de leur mère, via l’ovocyte dont ils sont issus.

En revanche, des différences existent quant aux gènes hérités de leur père. Pour Vivienne Souter, spécialiste de génétique, une seule hypothèse peut ici être envisagée: ces jumeaux « semi-identiques » sont issus de la fécondation simultanée d’un même ovocyte par deux spermatozoïdes, ayant la duplication de l’ovocyte doublement fécondé et le développement de deux embryons.

Aux yeux de leur mère, ces deux enfants étaient de vrais jumeaux ne présentant aucun trouble particulier. L’attention du corps médical a toutefois été attirée par l’existence, chez l’un d’entre eux, d’une forme d’hermaphrodisme, anomalie sexuelle caractérisée par la coexistence de tissus ovariens et testiculaires. Des analyses génétiques ont ensuite mis en lumière le fait que les deux enfants étaient des chimères, les cellules de leur organisme n’étant pas toutes constituées du même matériel génétique.

Cette découverte soulève de nombreuses questions et remet en cause un acquis tenu pour fondamental: l’impossibilité d’observer dans l’espèce humaine le phénomène de polyspermie, caractérisé par la fécondation d’un même ovocyte par plus d’un spermatozoïde. Dès qu’un spermatozoïde entreprend de pénétrer au sein de l’ovocyte, une série de modifications moléculaires surviennent, tant au niveau de la membrane ovocytaire que de la zone pellucide, cette structure qui entoure la cellule sexuelle féminine.

L’arrimage du spermatozoïde provoque notamment la libération d’une onde de dépolarisation rapide qui conduit, schématiquement, à un durcissement de la zone pellucide. Celle-ci devient ainsi un obstacle absolu à la pénétration d’autres spermatozoïdes et confère ensuite une protection à l’embryon, qui se développera durant quelques jours au seins de cet espace.

Après l’arrimage du spermatozoïde à l’ovule, les deux membranes fusionnent, avant que les deux patrimoines génétiques, le paternel et le maternel, s’associent. Les autres éléments du spermatozoïde, comme la flagelle et les mitochondries, qui pénètrent normalement dans l’ovocyte au moment de la fécondation, sont en suite éliminés.

Comment comprendre que les obstacles à la polyspermie puissent être contournés sans nuire au développement ultérieur des embryons et des foetus? Mikhail Golubovsky avait suggéré, en 2003, dans la revue Human Reproduction, qu’un tel scénario ne pouvait être formellement exclu.

« Il y a encore une série d’éléments qui ne sont pas éclaircis dans la génétique des jumeaux et de la géméllité, souligne aujourd’hui le biologiste. Nous devons conserver les yeux ouverts et nous attendre, dans ce domaine, à d’autres situations inhabituelles. »

Juste pour la petite histoire, en tant que Sophro-analyste, et pour l’intérêt que nous portons à la mémoire cellulaire, je me souviens que lors de l’une de nos supervisions avec le Dr Claude Imbert, il est arrivé une fois de « retrouver » à l’une d’entre nous cette mémoire de « double fécondation » que nous avions appelée à l’époque: « super-fécondation » à notre grand étonnement!

 

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La bioanalogie

 

Je vous avais promis de vous parler de ma formation en Bioanalogie: le moment est donc venu et je vais tenter de rendre mon propos clair et compréhensible.

 

« La Bioanalogie », c’est voir, comprendre et réaliser que les symptômes de la maladie et le vécu intérieur sont l’expression d’une seule et même réalité non séparable, et que chaque élément de notre vie, chaque instant de notre histoire, chaque partie de nous-même est à l’image de la totalité de notre vie.

 

L’homme est issu de la biologie animale, et la partie « reptilienne » de notre cerveau,fonctionne sur cette mémoire de l’animal et représente notre biologie.

 

En sachant que l’animal est soumis à l’instinct et que pour lui, l’instinct c’est la survie.

 

Nous pouvons dire que l’animal inconscient en nous est garant de la survie de l’espèce.Ainsi, le seul temps qui compte en biologie, c’est le futur.

 

Pour être plus clair, disons que dans la vie nous subissons différents stress plus ou moins importants;un stress étant une situation qui nous met en conflit, face à une problématique non résolue. Cette problématique, dans notre inconscient,met en jeu notre avenir et ne nous permet pas de vivre pleinement l’instant présent.

 

Part conséquent, ce stress nous met en danger et notre cerveau sait que nous avons un certain seuil de tolérance de celui-ci.

 

Pour le « cerveau biologique animal inconscient », si nous franchissons ce seuil, nous ne serons plus apte à assurer la survie de l’espèce, et si elle n’est pas assurée:c’est la mort.Notre cerveau doit alors trouver une solution pour faire diminuer ce stress afin d’assurer la survie.

 

A savoir que dans l’inconscient biologique « comme si » correspond à « c’est », le cerveau fait une lecture au premier degré.La maladie devient alors la solution parfaite du cerveau pour diminuer le stress et assurer momentanément la survie de l’individu et donc de l’espèce!

 

Nous pouvons comprendre que toutes les maladies ont un sens et toutes sont l’expression, dans le ressenti de chacun, d’un conflit en profondeur.

 

Bien évidemment, nous avons tous, face à une situation, des ressentis différents car nous avons tous une histoire particulière, un vécu unique, une mémoire familiale différente.

 

Nous chargeons ces programmes à différents moments de notre histoires, mais il en est un privilégié qui se situe autour de la grossesse.

 

Cette période correspond aux 9 mois précédant la conception,plus les 9 mois de la grossesse, plus les 9 mois après la naissance.C’est cette période de 27 mois qui va être déterminante.Pendant cette période, le vécu et le ressenti du père plus le vécu et le ressenti de la mère se chargent comme un programme que l’individu va exécuter comme si c’était le lui…L’embryon vit en vibration cellulaire avec son père et sa mère.9mois, temps de la gestation inscrite dans la mémoire biologique pour passer de la source parentale à la conscience de soi.

 

Lorsque une femme réalise qu’elle est enceinte, elle pense immédiatement qu’elle va accoucher dans 9 mois parce que cette réalité biologique est inscrite en chacun de nous depuis que l’homme est homme. Cette loi biologique crée un programme commun à tous les humains: tout ce qui se conçoit prend sa réalité au bout de 9 mois.

 

Le cycle de 27 mois, cycle d’imprégnation correspond à notre inconscient biologique cellulaire animal et se nomme l’Empreinte de naissance.Tout comme notre forme issue de la rencontre unique entre cet homme-là et cette femme-là à cet instant-là.C’est notre « Big-Bang » à nous!

 

Cette empreinte est donc une rencontre entre un homme et une femme, à un instant « T », une forme unique capteur de la totalité de la vie.C’est donc à cet instant-là que commence notre identité.

 

En résumé, nous sommes le vécu et le ressenti de nos parents.

 

Le programme de cette empreinte de 27 mois est notre programme de base: pour notre cerveau biologique, ce programme est celui qui donne la vie.

 

Pour lui c’est le seul programme possible et il l’exécute en permanence de 27 mois en 27 mois.

 

La guérison implique de passer de la pensée à la conscience et pour cela il faut sortir du temps chronologique afin d’accéder au Présent, maintenant.

 

A la lecture de notre empreinte, tous les évènements de notre existence prennent un sens.

 

Notre empreinte n’est ni « bien » ni « mal »: elle « EST ».

 

« Laisser la vie prendre sens en nous  » plutôt que de tenter sans cesse de « donner du sens à notre vie »

 

Nous sommes 100% programmés, 100% libres de choisir.Prendre conscience de notre empreinte nous rend libre de choisir comment la vivre.Cette liberté appartient à chacun de nous.

 

Je fais cette formation avec Jean-Philippe Brébion, créateur de la Bioanalogie.

 

Cet outil, je l’adapte à mon travail en Sophro-Analyse.

 

Je trouve qu’il permet de révéler de mettre en évidence nos Talents.

 

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à me contacter.

 

 

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Les apparences sont souvent trompeuses

 Cette semaine, j’ai envie de partager avec vous un moment de réflexion sur l’apparence.

En effet, les choses ne sont pas telles qu’elles semblent être. Les petites peuvent être de vraies grandes, et les grandes de vraies petites…

Paradoxe de la nature humaine: plus vous cherchez à vous faire valoir, à paraître grand, fort et puissant, plus vous semblez petit et impuissant. L’inverse est vrai aussi.

En fait le vrai pouvoir n’est pas là où on croit souvent qu’il est.

Mais où est-il, me demanderez vous?

– Je vous répondrai: dans la qualité de notre regard et de notre être…

Le vrai pouvoir vient de notre connexion avec notre espace de confiance et de puissance intérieure.Il s’exprime par la qualité de présence, d’écoute et de communication.

Pour atteindre cette communication, il nous suffit d’être « présent », et de regarder avec juste le regard « d’une caméra », c’est à dire, sans interprétation, sans jugement.

Penser et parler au « JE »: « je vois…, JE pense…, JE ressens…JE vérifie si ce que je vois et ce que je pense de ce que je vois est réel . Je pose des questions, je formule…

Je prends conscience et j’exprime mes besoins.

Je choisis d’être avec mes ressentis plutôt que contre ce que je perçois comme étant la cause.

En effet, ce qui est en moi me fait réagir, je ressens, je vois, j’accueille et je relâche.

Ainsi mes pensées et mes ressentis sont mes propres créations.

Ce que je vois est mon choix de voir: je peux toujours modifier mon regard.

Et puis puisque vous avez le choix, je vous propose de mettre en application cette forme de communication et de voir ce qui se passe: comment vous sentez-vous? Quel est votre nouveau regard?

N’hésitez pas à mettre des commentaires sur cet articles!

 
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